L’hors d’une réunion d’auteurs j’ai échangé mon roman contre un autre écrit par Jacques Djian édité chez Edilivre.
Le titre en est : L’autre dieu
Je mets un extrait de cet ouvrage en partage;
Certains passages sont tirés d’un cous de Victor Delbos à la Sorbonne.
Mais que dois je faire pour être sûr d’être heureux ?
Eh bien, nous allons apprendre avec Spinoza, comment faire notre bonheur, notre vrai bonheur. Car, en fait, tout est là : nous recherchons tous notre bonheur. Car, en fait,tout est là : Nous recherchons tous notre bonheur.
Spinoza examine d’abord, en ce premier chapitre, quelles sortes de bien poursuivent communément la majorité des hommes : « richesse, honneurs, plaisirs des sens. Or chacun d’eux distrait l’esprit de toute pensée relative à un autre bien…. Après la jouissance physique vient une tristesse profonde qui, si elle n’asservit pas l’esprit le trouble et l’engourdit.
La poursuite de la richesse enchaîne l’esprit, surtout quand on la recherche exclusivement pour elle -même, parce qu’alors on lui donne rang de souverain bien. Quant aux honneurs, ils attirent et fixent l’esprit avec encore plus de force, car on considère toujours que c’est un bien en soi , une sorte de fin dernière à laquelle tout se rapporte. De plus, contrairement au plaisir, l’argent et les honneurs ne contiennent pas de regret plus on en a plus s’accroît la joie ; c’est pourquoi nous sommes entraînés à les accumuler; par contre quand nous sommes par hasard frustrés dans notre espoir, nous sommes remplis d’une profonde tristesse. Enfin les honneurs sont un piège subtil parce que pour les atteindre, il faut diriger sa vie selon l’opinion de la foule, c’est-à-dire fuir ce que fuit le vulgaire, et rechercher ce qu’il recherche.
Ainsi la poursuite des richesses, les honneurs, plaisirs des sens, fait perdre la tranquillité et l’indépendance. Ces joies sont pourries, avec un arrière goût de tristesse. Elles peuvent même faire perdre la vie tout court. (T.R.E paragraphe 3)
« En réalité, toute notre félicité ou notre misère ne résident qu’en un seul point : à quelle sorte d’objet sommes-nous attachés par l’amour ? …. Quand nous aimons des choses périssables, toutes les passions sont notre partage ; surviennent la crainte, la haine, le trouble de l’âme Mais l’amour allant à une chose éternelle et infinie nourrit l’âme d’une joie pure, libérée de toute tristesse.(T.R.E paragraphe 3). En outre , l’objet infini se donne à tous, et, loin de s’affaiblir, augmente encore par une possession commune » (Ethique, V, 20)
Ce bien sans mesure, que Spinoza nous annonce consiste en la connaissance de l’union qu’à l’âme avec la nature entière…
> > > > > > Ne cours pas… La vie EST longue. Commence ta journée en te relaxant.
> > > > > Tu vois comme c’est bon ?
> > > > > Moi je suis présente pour te souhaiter »Bon matin »
> > > > > Je me promène libre… Dans ton e-mail… Pour ensoleiller ton matin…
Merci à elle et à mon tour je fais circuler ce message envoyé par une amie sur mon e-mail . C’est un bon jour qui doit voyager- libre- de toute contrainte …
> Mon soleil a débordé du cadre et c’est tant mieux, il est libre de s’étendre à l’infini…
Je vous propose un morceau choisi d’un de mes écrivains et penseurs spirituels préférés : Arnaud desjardins : Les chemins de la sagesse.
L’art est apprécié à travers les émotions, les goûts, les névroses individuelles ou collectives, les modes, le jeu de l’action et de la réaction. Tout est dépendant, conditionné, relatif et il n’y a en vérité, ni beau ni laid : Il y a ce que chacun aime et n’aime pas. Mais il y a, dans tous les arts, des niveaux de réalité, des niveaux de proximité ou d ‘éloignement par rapport au « Centre », au but de la vie. Ces niveaux, eux, ont une valeur objective. Le sage, qui est arrivé au bout du chemin, peut comprendre tous les niveaux. Les autres hommes ne comprennent pas : Ils sont attirés ou ils ne sont pas.
Le chercheur de vérité reconnaît peu à peu les oeuvres d’art qui lui parlent de son but ou qui lui en montre le chemin.
Dans la ville de Montauban , un jardin intérieur qui s’ ouvre comme une grande fleur odorante et colorée. C’est un lieu d’accueil où il fait bon se promener et se reposer à l’ombre des grands arbres et méditer sur le sens de la vie… Et sur un banc, à l’abri des regards vous y trouverez des amoureux qui se bécotent éternellement.
Un extrait de mon roman « Un éternel soleil » publié aux éditions EDILIVRES avec le nom de plume Brigitte Gladys . Une partie de l’action se situe à Montauban .
Le soir arrive,
L’hirondelle pourpre vole haut dans le ciel,
Il fait doux,
Il flotte dans l’air des notes légères et parfumées,
Le soleil couchant tisse
des fils de soie et de lumière
qui dansent en scintillant sur la rivière.
Une nuit violette glisse tout doucement
son voile de danse orientale sur le jour…
Le temps a passé emportant avec lui le manteau gris de la mélancolie.
Je suis revenue vivre dans le pays où j’ai grandi.
Une barque blanche est amarrée le long des berges du Tarn.
On entend le clapotis de l’eau
et la brise dans les feuilles d’alba.
Les oiseaux sautillent gaiement de branche en branche en pépiant…
J’inspire profondément, fleurs de tilleul, parfum de miel.
Je suis heureuse et en paix avec moi-même. J’ai pardonné le mal que l’on m’a fait et je me suis pardonnée de lui avoir accordé autant de place…
Je suis en parfaite harmonie avec la nature, et me sens libre et unie au Tout, à la rivière, aux arbres, aux chants des oiseaux, à la brise, au soleil, aux étoiles qui arrivent une à une. Le Tout est en moi dans la continuité et dans l’éternité.
La divine illumination de mon premier amour a trouvé sa place dans mon espace sacré, pour un éternel printemps. Un jour,
après avoir tracé mon sillon sur la terre, je m’en irai le coeur léger, pour devenir une fenêtre ouverte sur le monde, une sentinelle du cosmos.
Le pont vieux, le pont neuf et puis à droite devant l’église, le musée Ingres.
Le Tarn coule au pied de la ville de Montauban.
La France offre une multitude de paysages et de visages riches et merveilleux (forêt, plaines, bocages, montagnes, collines,vallées, rivières, lacs, mers….)que j’aime découvrir.
Cependant, passent les années, les mois, les jours,les heures, les minutes, les secondes, je garde toujours sur mon coeur écrit à l’encre violette, le nom de la ville où j’ai grandi et celui de ma province, » mon Aquitanie ».
Même si, dans ses ruelles, plus personne ne me reconnaît, moi, je la reconnais et elle me reconnait aussi . J’y suis restée fidèle.
Chaque endroit garde intact le souvenir du glissement de mes pas d’enfant. Chaque mur murmure des secrets et me renvoie mes émotions, mon sourire d’autrefois, lumineux et rempli de rêves, d’espace, d’espérance .
Je me souviens de la couleur vibrante et rose des toits, de la brise dans la robe des tilleuls, de l’eau verte et frissonnante du Tarn, du parfum des iris le long de ses rives, je me souviens..
Une mélodie à la harpe émouvante de John Thomas : l’adieu au pays natal du ménestrel.
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