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Mandala-chrysanthème champs de paradis…

dimanche, novembre 4th, 2012

Mandala fleur_ champs de paradis_ J’aime_

Je trouvais lumineuse cette petite phrase d’un poète anglais, mais, j’ai récolté le maximum de spams avec elle , avait-elle un double sens subversif que je n’ai pas compris je ne sais pas mais, je l’ai enlevée et remplacée par un extrait de mon ouvrage » un éternel soleil » nom de plume : Brigitte Gladys.

IL est paru cet été chez Edilivre

Pour moi l’idée est la même.

Se pencher de très près sur les trésors et la beauté de la nature et s’émerveiller  jusqu’au moindre petit grain de sable.

– J’aime…

Le ciel bleu limpide clair immense,

La liberté, la couleur de l’aube,

Le chant du rossignol,

La brillance

et la chaleur du soleil réchauffant ma peau…

l’éclat changeant, la transparence

et la souplesse de la lumière,

le souffle du vent

dans les verts paradis des amours enfantines…

J’aime encore la couleur pourpre

d’un champs de tulipes au printemps,

puis la rose nacrée et le parfum des tilleuls.

J’aime aussi l’odeur et la couleur

des champs de blé en été,

le doux clapotis de la rivière qui coule

la musique douce et puis, par-dessus tout

j’aimerais….

Page 118

 Extrait de mon roman, » Un éternel soleil » paru chez Edilivre
La petite phrase de William Blake était la suivante :
Dans chaque grain de sable voir un monde dans chaque fleur voir un champs de paradis.
William Blake
J’aime la nature et j’utilise beaucoup la macro  la super macro en photographie .

Le soir arrive sur les berges du Tarn. Mandala de l’instant.

samedi, août 11th, 2012

Un extrait de mon roman « Un éternel soleil » publié aux éditions EDILIVRES avec le nom de plume Brigitte Gladys . Une partie de l’action se situe à Montauban .

Le soir arrive,

L’hirondelle pourpre vole haut dans le ciel,

Il fait doux,

Il flotte dans l’air des notes légères et parfumées,

Le soleil couchant tisse

des fils de soie et de lumière

qui dansent en scintillant sur la rivière.

Une nuit violette glisse tout doucement

son voile de danse orientale sur le jour…

Le temps a passé emportant avec lui le manteau gris de la mélancolie.

Je suis revenue vivre dans le pays où j’ai grandi.

Une barque blanche est amarrée le long des berges du Tarn.

On entend le clapotis de l’eau

et la brise dans les feuilles d’alba.

Les oiseaux sautillent gaiement de branche en branche en pépiant…

J’inspire profondément, fleurs de tilleul, parfum de miel.

Je suis heureuse et en paix avec moi-même. J’ai pardonné le mal que l’on m’a fait et je me suis pardonnée de lui avoir accordé autant de place…

Je suis en parfaite harmonie avec la nature, et me sens libre et unie au Tout, à la rivière, aux arbres, aux chants des oiseaux, à la brise, au soleil, aux étoiles qui arrivent une à une. Le Tout est en moi dans la continuité et dans l’éternité.

La divine illumination de mon premier amour a trouvé sa place dans mon espace sacré, pour un éternel printemps. Un jour,

après avoir tracé mon sillon sur la terre, je m’en irai le coeur léger, pour devenir une fenêtre ouverte sur le monde, une sentinelle du cosmos.

Gouttes d’argent, d’orfèvrerie.

mercredi, mars 11th, 2009

« Le temps a laissé son manteau !

De vent de froidure et de pluie »

Rivière, fontaine et ruisseau

Portent, en livrée jolie,

Gouttes d’argent, d’orfèvrerie ;

Chacun s’habille de nouveau.

Le temps a laissé son manteau

De vent, de froidure et de pluie,

Et s’est vêtu de broderie,

De soleil luisant, clair et beau.

Charles d’Orléans

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Mandala fleur_ champs de paradis_ J’aime_

mercredi, novembre 5th, 2008

Je trouvais lumineuse cette petite phrase d’un poète anglais, mais, j’ai récolté le maximum de spams avec elle , avait-elle un double sens subversif que je n’ai pas compris je ne sais pas mais, je l’ai enlevée et remplacée par un extrait de mon ouvrage » un éternel soleil » nom de plume : Brigitte Gladys.

IL est paru cet été chez Edilivre

Pour moi l’idée est la même.

Se pencher de très près sur les trésors et la beauté de la nature et s’émerveiller  jusqu’au moindre petit grain de sable.

– J’aime…

Le ciel bleu limpide clair immense,

La liberté, la couleur de l’aube,

Le chant du rossignol,

La brillance

et la chaleur du soleil réchauffant ma peau…

l’éclat changeant, la transparence

et la souplesse de la lumière,

le souffle du vent

dans les verts paradis des amours enfantines…

J’aime encore la couleur pourpre

d’un champs de tulipes au printemps,

puis la rose nacrée et le parfum des tilleuls.

J’aime aussi l’odeur et la couleur

des champs de blé en été,

le doux clapotis de la rivière qui coule

la musique douce et puis, par-dessus tout

j’aimerais….

Page 118

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