Posts Tagged ‘Un éternel soleil’

Mandala-chrysanthème champs de paradis…

dimanche, novembre 4th, 2012

Mandala fleur_ champs de paradis_ J’aime_

Je trouvais lumineuse cette petite phrase d’un poète anglais, mais, j’ai récolté le maximum de spams avec elle , avait-elle un double sens subversif que je n’ai pas compris je ne sais pas mais, je l’ai enlevée et remplacée par un extrait de mon ouvrage » un éternel soleil » nom de plume : Brigitte Gladys.

IL est paru cet été chez Edilivre

Pour moi l’idée est la même.

Se pencher de très près sur les trésors et la beauté de la nature et s’émerveiller  jusqu’au moindre petit grain de sable.

– J’aime…

Le ciel bleu limpide clair immense,

La liberté, la couleur de l’aube,

Le chant du rossignol,

La brillance

et la chaleur du soleil réchauffant ma peau…

l’éclat changeant, la transparence

et la souplesse de la lumière,

le souffle du vent

dans les verts paradis des amours enfantines…

J’aime encore la couleur pourpre

d’un champs de tulipes au printemps,

puis la rose nacrée et le parfum des tilleuls.

J’aime aussi l’odeur et la couleur

des champs de blé en été,

le doux clapotis de la rivière qui coule

la musique douce et puis, par-dessus tout

j’aimerais….

Page 118

 Extrait de mon roman, » Un éternel soleil » paru chez Edilivre
La petite phrase de William Blake était la suivante :
Dans chaque grain de sable voir un monde dans chaque fleur voir un champs de paradis.
William Blake
J’aime la nature et j’utilise beaucoup la macro  la super macro en photographie .

Ceux qui restent …

jeudi, mars 29th, 2012

Rue Monsieur Le Prince.

 

Je voulais aller à cette séance de dédicace au salon du livre de Paris. Je me suis dit, tu peux le faire , tu peux y aller, ce sera une expérience unique. Unique parce que ce sera une belle expérience et unique parce que peut être, je n’aurai pas le courage ni la force d’y revenir.

Comme je l’expliquais  précédemment on parle beaucoup du nombre de morts sur la route mais on parle peu de ceux qui survivent, ceux qui sont blessés dans leur coeur et  dans leur chair à vie . On parle très peu de ceux qui survivent avec un handicap et des difficultés qu’ils rencontrent au quotidien (famille, travail…)

Je me souviens des paroles qu’a prononcées mon patron quand j’ai repris mon travail .

-Surtout n’en parlez à personne.

J’ai la chance d’avoir un handicap qui ne se voit pas (entre autre, quelques lésions neurologiques) et aussi la chance d’être comme on dit d’être une  » belle femme ».

La suite demain .

Sur la photo vous pouvez voir la rue Monsieur le Prince. Regardez de plus près et vous verrez que le sujet est abordé.

Après réflexion j’ai décidé de reprendre cet article plus tard …

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

votre handicap  le regard que les gens porte sur vous change.

Mon ouvrage « un éternel soleil » aborde bien ce problème.

J’ai choisi de monter à  Paris avec l’étiquette  » belle femme ». J’ai donc utilisé les trans ports en commun comme tout le monde et cela a été beaucoup de souffrance et une vraie galère.

A peine arrivée sortie de la gare de Lyon j’ai pris le bus 63 pour me rendre  à mon Hôtel rue Monsieur Le Prince.

J’avais bien pris soin de prendre ma plus petite valise montée sur roulettes, quelques livres et le minimum pour deux jours.

Le chauffeur m’a conseillée de descendre rue des écoles ce que j’ai fait.

Je m’imaginais que je n’aurais qu’à faire deux pas pour trouver mon hôtel. Certes,  je le voyais mais pour atteindre la rue Monsieur le Prince il y avait une envolée de marches….

La suite demain

 

 

Méditation, concentration, relaxation, état sophronique .

vendredi, décembre 4th, 2009

Ma définition.

Suite.

Au bout de la nuit, il y a le jour.

J’ai eu la malchance et la chance d’avoir ce terrible accident de voiture et de survivre.

Je me suis retrouvée immobilisée, grabataire en proie à des souffrances atroces. 60 jours à plat dos en ne pouvant bouger que la main gauche.

Un vrai cauchemar autant causé par la douleur physique que par la douleur psychologique.  Il m’était aussi impossible de m’occuper de mes enfants. Mon bébé avait 4mois. Mon métier c’était peintre et professeur d’Arts . Autant de malchance que pour Frida Khalo sauf, qu’elle au moins, avait la main et le bras droit pour peindre sa douleur.

Comment ai je réussi à m’en sortir ?

Je suis restée longtemps en soins intensifs entre la vie et la mort, dans cette pièce, il n’y avait pas la moindre fenêtre pour voir un bout de ciel bleu. C’était triste et sombre.

Je ne savais pas utiliser ce merveilleux outil qu’est la respiration mais, en temps que peintre j’avais toujours eu le don d’observation et de visualisation, je m’en suis servi pour moins souffrir et sortir de la prison dans laquelle je me trouvais.

Je me suis concentrée sur mes souvenirs heureux. Je me suis souvenue de la douceur et des trésors de bonheur que la nature m’avait apportée. En fermant les yeux, par la pensée soutenue, je marchais à nouveau dans la campagne, le ciel était azuré, l’air était frais, c’était magique, j’y étais. J’étais sortie de l’hopital .  Debout, un pied se posait devant l’autre, j’avançais. je sentais toutes les odeurs  de la terre et des blés qui doraient à vu d’oeil.  Le parfum de miel des fleurs aux mille couleurs me titillait les narines.  Je marchais  à nouveau, j’oubliais ma situation, puis, je prenais le temps de m’assoir au pied d’un arbre pour m’émerveiller de la beauté d’un coucher de soleil.

En me concentrant sur ces souvenirs heureux et en utilisant la visualisation, j’oubliais mon malheur et je me préparais  à guérir et un jour j’ai remarché à nouveau…

J’ai donc utilisé la concentration et la visualisation et même l’état sophronique (auto-hypnose) avant même de les avoir appris . Peut être que vous aussi vous avez en vous la capacité de trouver des solutions pour vous sortir de situations critiques.

La concentration : On obtient la concentration en demandant au cerveau de chasser le galop des pensées négatives qui trottent dans la tête pour trouver le calme intérieur. Je sais, ce n’est pas toujours facile.

On peut y arriver en se focalisant sur un objet, une belle fleur ou un dessin de mandala en couleurs…. On obtient alors un état de paix. La deuxième étape pour sortir de l’épreuve, c’est de se concentrer sur le résultat positif que l’on attend, se projeter dans l’avenir et voir l’objectif atteint.

Après la nuit, le jour se lève toujours.

Demain, la suite.

Vous trouverez plus de détails dans un ouvrage que je viens de publier.

La technique de mise en sophronisation est bien décrite.

Un éternel soleil aux éditions Edilivres. Nom de plume Brigitte Gladys.

« Vers le centre » nom de plume est réservé au site et à la poésie.

Une éditrice m’a fait remarquer que « verslecentre » ce n’était pas trop tendance, ah!  La mode ! ——-****—–***