Archive for octobre, 2012

Courrez y vite avant que le parcours de phot’Aix soit terminé

dimanche, octobre 28th, 2012

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Les parcours de Phot’aix

Les parcours de Phot’aix

organisés par la très dynamique  association de photographes de La Fontaine Obscure.

Après la pluie…

samedi, octobre 27th, 2012

Après la pluie toutes les fleurs rêvent à un éternel soleil.

Mandala de la rose couronnée de perles de diamant

mardi, octobre 16th, 2012

La rose, mandala parfait symbole d’éternel renouveau est beauté essentielle.

Ciel plombé de gris

Dans mon jardin

fleurit encore

-Ma rose préférée-

Diamants couronnés

scintillants

-Vibrations colorées-

Se mettre en harmonie avec elle.

Un objet de beauté chasse le gris, la mélancolie et illumine la vie.

 

 

Philosophons un peu…

jeudi, octobre 11th, 2012

L’hors d’une réunion d’auteurs j’ai échangé mon roman contre un autre écrit par Jacques   Djian  édité chez  Edilivre.

Le titre en est : L’autre dieu

Je mets un extrait de cet ouvrage en partage;

Certains passages sont tirés d’un cous de Victor Delbos à la Sorbonne.

 

Mais que dois je faire pour être sûr d’être heureux ?

Eh bien, nous allons apprendre avec Spinoza, comment faire notre bonheur, notre vrai bonheur. Car, en fait, tout est là : nous recherchons tous notre bonheur. Car, en fait,tout est là : Nous recherchons tous notre bonheur.

Spinoza examine d’abord, en ce premier chapitre, quelles sortes de bien poursuivent communément la majorité des hommes : « richesse, honneurs, plaisirs des sens. Or chacun d’eux distrait l’esprit de toute pensée relative à un autre bien…. Après la jouissance physique vient une tristesse profonde qui, si elle n’asservit pas l’esprit le trouble et l’engourdit.

La poursuite de la richesse enchaîne l’esprit, surtout quand on la recherche exclusivement pour elle -même, parce qu’alors on lui donne rang de souverain bien. Quant aux honneurs, ils attirent et fixent l’esprit avec encore plus de force, car on considère toujours que c’est un bien en soi , une sorte de fin dernière à laquelle tout se rapporte. De plus, contrairement au plaisir, l’argent et les honneurs ne contiennent pas de regret plus on en a plus s’accroît la joie ; c’est pourquoi nous sommes entraînés à les accumuler;  par contre quand nous sommes par hasard frustrés dans notre espoir, nous sommes remplis d’une profonde tristesse. Enfin les honneurs sont un piège subtil parce que  pour les atteindre, il faut diriger sa vie selon l’opinion de la foule, c’est-à-dire fuir ce que fuit le vulgaire, et rechercher ce qu’il recherche.

Ainsi la poursuite des richesses, les honneurs, plaisirs des sens, fait perdre la tranquillité et l’indépendance. Ces joies sont pourries, avec un arrière goût de tristesse. Elles peuvent même faire perdre la vie tout court. (T.R.E paragraphe 3)

« En réalité, toute notre félicité ou notre misère ne résident qu’en un seul point : à quelle sorte d’objet sommes-nous attachés par l’amour ? …. Quand nous aimons des choses périssables, toutes les passions sont notre partage ; surviennent la crainte, la haine, le trouble de l’âme  Mais l’amour allant à une chose éternelle et infinie nourrit l’âme d’une joie pure, libérée de toute tristesse.(T.R.E paragraphe 3). En outre , l’objet infini se donne à tous, et, loin de s’affaiblir, augmente encore par une possession commune » (Ethique, V, 20)

Ce bien sans mesure, que Spinoza nous annonce consiste en la connaissance de l’union qu’à l’âme avec la nature entière…

Un objet de beauté est une joie pour toujours…

mardi, octobre 9th, 2012

A thing of beauty is a joy for ever (John Keats  1795-1821)

Ou bien encore : Beauty is truth, truth is beauty- that is all ye know on earth and all we need to know.

Soit : Beauté est vérité-voilà tout ce que l’on sait sur terre et tout ce qu’on a besoin de connaître.

John Keats est un poète délicat et romantique qui aimait la nature et les fleurs . A chaque fois que revient l’automne je pense à sa poésie intitulée : Ode to autumn.Season of mists and mellow fruitfulness!
Close bosom-friend of the maturing sun;
Conspiring with him how to load and bless
With fruit the vines that round the thatch-eaves run;
To bend with apples the mossed cottage-trees,
And fill all fruit with ripeness to the core;
To swell the gourd, and plump the hazel shells
With a sweet kernel; to set budding more,
And still more, later flowers for the bees,
Until they think warm days will never cease,
For Summer has o’erbrimmed their clammy cells.

Who hath not seen thee oft amid thy store?
Sometimes whoever seeks abroad may find
Thee sitting careless on a granary floor,
Thy hair soft-lifted by the winnowing wind;
Or on a half-reaped furrow sound asleep,
Drowsed with the fume of poppies, while thy hook
Spares the next swath and all its twined flowers;
And sometimes like a gleaner thou dost keep
Steady thy laden head across a brook;
Or by a cider-press, with patient look,
Thou watchest the last oozings, hours by hours.

Where are the songs of Spring? Ay, where are they?
Think not of them, thou hast thy music too, –
While barred clouds bloom the soft-dying day
And touch the stubble-plains with rosy hue;
Then in a wailful choir the small gnats mourn
Among the river sallows, borne aloft
Or sinking as the light wind lives or dies;
And full-grown lambs loud bleat from hilly bourn;
Hedge-crickets sing, and now with treble soft
The redbreast whistles from a garden-croft;
And gathering swallows twitter in the skies.

John Keats

http://www.youtube.com/watch?v=dRaZLelITDQ

Ci dessus une belle interprétation de ce poème.

Mandala parfait de la petite fleur mauve.

vendredi, octobre 5th, 2012

Aujourd’hui c’est la sainte fleur, alors j’en ai choisi une en particulier qui me plait beaucoup et qui peut être, par sa beauté vous inspirera.

Sur les pentes de la Sainte Victoire fleurissent de merveilleuses petites fleurs mauves  circulaires, l’ordonnance des pétales est régulier et solaire. Juste  les re  garder…

Les correspondances de Manosque.

mardi, octobre 2nd, 2012

Bon jour Jean,

Dimanche premier octobre j’ai découvert ta ville, la ville où tu es né et où tu as vécu : Manosque, une belle ville, typique de cette région des hautes Alpes

.

De lourds nuages courraient très vite dans le ciel battant tantôt pavillon noir, tantôt pavillon blanc…

Ébullition et averses de pluie  d’écritures, d’écritoires…. et averses tout court. C’était le premier dimanche d’octobre. C’était l’automne.

Dans la rue grande, la rue où tu vivais enfant, l’eau de  la fontaine aux cygnes noirs était émeraude. C’est toujours un lieu de passage et il y a  toujours autant de boutiques. Ta souvenance  se promène de ci de là…. Tu ne fais de l’ombre à personne bien au contraire , tu éclaires cet endroit …

Des centaine d’énergies nouvelles sont nées de  ta belle énergie créatrice dont tu as fait preuve toute ta vie.

-L’homme qui plantait des arbres-

Une nouvelle de toi, Jean Giono, une nouvelle  que j’ai beaucoup appréciée.

Tu as semé des forêts de mots qui aujourd’hui sont immenses…

Des mots, des livres, des écrivains connus ou inconnus, il y en avait partout, tiens, moi aussi j’y étais et puis aussi Patrick Deville qui, cette après midi là  présentait son livre : Peste et choléra.

Je suis passée par ici, je suis passée par là, j’y retournerai peut être l’année prochaine.