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Histoire de mur : oeuvre personnelle.La poétique de la ville : le mur vert et bleu, détail.

lundi, août 29th, 2011

De la poétique de la ville : Oeuvre personnelle.

vendredi, août 26th, 2011

La poétique de la ville : Mur parisien

Oeuvre personnelle. De la poétique de la ville….

vendredi, août 26th, 2011

En marchant vers le centre d’Annecy les murs murmurent…

vendredi, août 26th, 2011

 La poétique des murs

Les murs racontent des histoires

ouvertures, fermetures

couleurs en reflets

secrets murmurés

La poétique de la ville a toujours suscité mon attention, différente dans chaque ville mais toujours très intéressante.

Ci dessus une oeuvre  personnelle réalisée à Paris.

Mandala-poésie à quatre feuilles et anneau d’or .

mercredi, août 10th, 2011

Porte bonheur la poésie ?

Porte amour la poésie ?

Porte la vie la poésie ?

Porte la mort ?

Le temps passe

Les mots s’effacent un peu

virent au bleu

-fleurs bleues-

virent au violet

-violettes-

Je les chasse

Ils persistent

Ils insistent

Laissent une trace

et reviennent

en anneau d’or

-On s’aime-

Je suis née mariée,

mariée à la poésie

Pour le pire

Faut-il en rire?

Pour le meilleur

 

J’offre mon coeur

-Porte amour-

La poésie

-Porte bonheur-

Page et illustration tiré du site http://arbrealettres.wordpress.com

 

Certitude

Si réelle est la blanche lumière
de cette lampe, réelle
la main qui écrit, sont-ils réels
les yeux qui regardent ce qui est écrit?

D’un mot à l’autre
ce que je dis s’évanouit.
Je sais que je suis vivant
entre deux parenthèses.

***

Cerceza

Si es real la luz blanca
de esta lámpara, real
la mano que escribe, ¿son reales
los ojos que miran lo escrito?

De une palabra a la otra
to que digo se desvanece.
Yo sé que estoy vivo
entre dos paréntesis.

(Octavio Paz)

Illustration

 

Commentaires

Brigitte a dit

11 août 2011 à 4:20

D’un mot à l’autre
Ce que je dis s’évanouit…

Belle photo de page écrite et beau poème aussi.
Les mots dits s’envolent peut être mais, la feuille blanche accueille et recueille les mots de toutes les couleurs pour y laisser une trace vivante….
Savoir écrire, c’est merveilleux parce que la mémoire du dire est volatile, les mots déposent une empreinte…
Un de mes grand-pères ne savait pas écrire il signait avec une croix. Je réalise que j’ai beaucoup de chance de savoir écrire.

Répondre
  • Arbrealettres a dit

    11 août 2011 à 10:11Oui RIEN ne reste au final de tous ces mots sauf quelques auteurs ou poètes qui persisteront un peu plus longtemps… c’est la vie!
    Qu’importe écrire même pour soi oui quel privilège
    Merci Brigitte de ce passage en P’OASIS (-:

 

 

 

De la mort à la vie et de la vie à la vie …. Un éternel soleil mon ouvrage paru chez Edilivre.

jeudi, août 4th, 2011

Un terrible accident de voiture sur la nationale qui brise tout sur son passage. Un évènement imprévu qui fait basculer sa vie dans un cauchemar  noir et absolu.

Le choc effroyable, un cri déchirant , la douleur implacable qui vous broie les os, la perte connaissance. La vie qui s’en va.

Plus tard, le réveil confus, la mémoire est défaillante, le passé et le présent se confondent. Immobilisée à plat dos, écrasée de douleur…. Vivre ou mourir, mourir ou vivre ?

Quels sont les éléments qui m’ont poussée à survivre ?

Il aurait été si facile de basculer de l’autre côté et de dire comme le poète désespéré Pavese : « Et la mort viendra et elle aura  tes yeux ». Le poète a écrit ces vers en pensant à la femme qui l’a abandonné.

Où ai-je- puisée la force pour surmonter la souffrance et cette épreuve qui va bouleverser et changer mon existence à jamais ?

Ce sont les questions soulevées dans cet ouvrage inspiré par une douloureuse expérience de vie.

La mort est au bout du chemin, c’est le sort de tout un chacun mais, il faut  continuer son chemin en se tenant debout  et créér sans relâche.  La mort n’est pas le but ultime c’est juste un passage, autant vaut-t-il que cela soit un beau passage.

Moi, j’aimerais la mort soit douce, sans cri, qu’elle arrive à petit pas, que j’ai le temps de l’en-visager, de l’apprivoiser  alors, j’entrerai en méditation pour atteindre l’extase.

j’aimerais partir sans souffrance. La pire des morts, c’est quand il y a violence et qu’elle vous surprend sans prévenir.

La couverture de mon ouvrage est une oeuvre personnelle.

D’un éternel soleil à un autre. Publication de mon ouvrage : Un éternel soleil aux éditions Edilivre.

jeudi, juillet 28th, 2011

Un éternel soleil

Un éternel soleil.

Publication de mon ouvrage aux éditions Edilivre.

J’ai commencé son écriture  bien avant l’ouverture de mon site vers le centre.

Au début, après mon accident, quand j’ai pu tenir un stylo, je souhaitais mettre des mots sur la souffrance (physique et morale).  Je voulais la banderiller,la dépecer, la mettre à mort, pour qu’elle me laisse  tranquille. Revivre enfin, oublier l’accident, le handicap , la douleur, la solitude…

Les mots sont venus noircir des pages et des pages et cela a duré longtemps. Un jour, j’en ai eu assez d’écrire sur ce thème.

J’ai alors déposé mon cahier sur une étagère.

Plus tard, j’ai éprouvé le besoin d’écrire sur le bonheur et tout ce qui le caractérisait à mes yeux et les mots sont venus éclairer et fleurir des feuilles et des feuilles blanches. Puis, j’ai déposé ce nouveau cahier sur la même étagère.

Le temps a passé.

Des mois et des mois se sont écoulés l’étagère a tenu bon. J’ai repris mes deux cahiers. Je les ai relus. J’en ai repris un troisième et l’inspiration m’est venue , j’ai alors rédigé mon ouvrage presque d’une traite. Chapitre un, chapitre deux, chapitre trois.

Je n’étais pas prête pour le publier, j’ai à nouveau déposé mon manuscrit sur l’étagère. Le temps a passé. Un jour, une amie professeur de lettres est venue me rendre visite. Je lui ai proposé de lire mon ouvrage.

Elle l’a lu et m’a encouragée à le publier. Je n’étais toujours pas décidée à le faire et, à nouveau, j’ai déposé mon manuscrit sur la même étagère.

Des mois et des mois ont encore filé, puis, ma fille l’a découvert et a souhaité le lire.

Elle l’a trouvé très émouvant et m’a dit :  Tu devrais le publier.

C’est ainsi que je me suis décidée.

Les Editions Edilivre m’ont  donnée la possibilité de participer à l’élaboration de  l’ouvrage. Cela m’a beaucoup plu. J’ai choisi une de mes peintures pour la couverture.

En le  lisant vous comprendrez pourquoi j’écris si régulièrement sur le site vers le centre.

Bonne lecture.

J’associe à cette présentation trois morceaux de musique.

Un morceau flamboyant de De Falla qui s’appelle danse de la vie brève. Il est d’une beauté solaire  habillé de vibrantes notes colorées, un morceau habité de bonheur et si la vie n’est qu’un passage plus ou moins long, alors, vivons là ainsi, chaque jour est un nouveau jour…. Cette pièce est interprétée brillamment par le violoniste Patrick shemla .

 

Et puis aussi deux autres morceaux de Keith Jarrett que j’écoutais en boucle durant mon hospitalisation et qui me permettaient de m’élever et de m’évader vers un monde lumineux et merveilleux. Il me faisaient oublier ma souffrance.

Saircases : http://www.youtube.com/watch?v=bHKjaf5VvFA

 

 

http://www.edilivre.com/eternel-soleil-brigitte-gladys.html

La vie c’est créer et créer c’est la vie. Un clin d’oeil à Gainsbourg.

mercredi, mars 2nd, 2011

le-deux-mars-vers-le-centre.jpgUn sacré créateur celui là, il savait si bien jouer avec les mots… Il savait peindre aussi, mais, il a préféré la composition et la chanson.

20 ans  déjà qu’il est parti…

Associée à une de mes peintures dont le prénom se termine par un a  : Laetitia sa si belle chanson.

Ci dessus une oeuvre personnelle: Le portrait de  Paloma à 4 ans.

http://www.youtube.com/watch?v=RdTz0JG-yfw&feature=related

Qui chuchote au soleil toute la beauté des jardins du monde

samedi, février 19th, 2011

001.JPGCette couleur là je l’associerais à une écriture poétique qui m’est venue en pensant à lui et à une peinture de matin de printemps sur jardins en fleurs.

« J’étais interne au lycée. Il était externe. Je ne le voyais que pendant les cours et la récréation. La vie de pensionnaire était morose . C’était comme un soleil pour moi et chaque matin j’attendais avec impatience son retour. Nous parlions pas, nous parlions peu mais, chaque geste était un aveu, notre communication était légère, intuitive, divine, magique, mon regard éclairait son regard et ses lèvres me répondaient toujours par une secrète parole d’amour, ses mouvements étaient des murmures que moi seule comprenais et qui faisaient éclore chaque jour un bonheur nouveau…

J’aimais l’ange en lui, il aimait l’ange en moi… Nous marchions sur des chemins de lumière.

Devant nous s’étendaient des jardins sans limite qui chuchotaient au soleil toute la beauté des matins du monde. J’étais sa divine amie il était mon éternel amour. »

Passage tiré de mon ouvrage publié  chez Edilivres : Un éternel soleil avec comme nom de plume Brigitte Gladys.

Je l’associerais aussi à un beau montage vidéo avec Charlie Chaplin : The king of the tramps.

Quand Charlie fait le clown, il a l’inspiration et la grâce d’un ange, il est drôle et merveilleux dans sa créativité.

Les images sont en noir et blanc mais tout est joyeux et en couleurs, les mouvements, la musique et les mots chantés inventés… Quand à la peinture à laquelle je l’associe, c’est une oeuvre personnelle.

http://www.youtube.com/watch?v=_Oalhd3TgAw&NR=1

Le coeur de la cité… oeuvre personnelle

vendredi, janvier 21st, 2011

verslecentre-014.JPG