
Oiseaux des jardins de France
avril 4th, 2019
Respecte-moi
avril 2nd, 2019Regarde-moi
Respecte-moi
…..
Je suis le coquelicot
à la robe de soie rouge
….
Regarde-moi
Respecte-moi
……..
Je suis le papaver roehas
Je suis l’œuvre du créateur
Tout comme la viola odorata
Tout comme l’oxalis acetocella
Tout comme la stellaria media
……..
Regarde-moi
Respecte-moi
……
je suis le tilia cardata
Je suis le prunus persica
Je sui l’arbre des bois
…..
Regarde-moi
Respecte-moi
……
Je suis l’oiseau
Qui chante tout là haut
Je suis l’œuvre du grand créateur
….
Regarde-moi
Respecte-moi
….
Je suis l’insecte
Qui butine de fleur à fleur
J’ai le droit d’être là
Je suis l’œuvre du grand créateur
……
Regarde-moi
Respecte-moi
…..
Je suis l’eau
Je suis le ruisseau
Je suis la rivière
Je suis la mer
…..
Ressens-moi
Respire-moi
Respecte-moi
Je suis l’air frais
Je suis l’œuvre du grand créateur
….
Ressens-moi
Respecte-moi
Je suis la terre nourricière
Je suis là pour toi
Je suis l’œuvre du grand créateur
Brigitte Gladys

La place….
mars 29th, 2019
Le rôle d’une place c’est quoi ? Créer un lieu agréable qui accueille tout le monde, un espace bien placé (c’est le cas de le dire) où on peut se déplacer, un lieu attractif qui consolide le lien social et favorise les échanges commerciaux ou culturels. Cette place parait fermée mais en fait, elle est ouverte sur tous les quartiers( est, ouest, nord, sud) de la ville.
La place Clémenceau
Jusqu’en 1768,( date de la vente du terrain) les cordeliers (ou franciscains) possédaient un vaste enclos non loin de l’église Saint Louis et près de leur couvent. Ils nommaient cet endroit l’esplanade. C’était un jardin clos de murs et plantés d’agrumes de toutes espèces.
Après son achat,
la place fut alors appelée place de la rade, car à de cet endroit on pouvait voir la mer et la rade d’Hyères bien sur. De 1810 à 1812 la place de la rade fait l’objet de travaux . Un escalier crée la jonction avec la place Napoléon (aujourd’hui place de la république) qui se situe devant l’Eglise Saint Louis.
En 1860, à nouveau des travaux sont réalisés, la place de la rade est nivelée . Des égouts sont construits et en 1922 elle prend alors le nom de place Clémenceau en l’honneur du grand homme politique, on la nomme aussi place de marbre car, elle est pavée de marbre.


De 1987 à 1990 elle fait l’objet d’un réaménagement total avec la création d’un parking souterrain.
Aujourd’hui, cette grande place (la plus grande place du département du Var) occupe un emplacement central dans la ville. Elle fait le lien entre la vieille ville et la nouvelle. Elle est plus belle que jamais. Elle vient d’avoir des aménagements et un lifting (un genre de réparation urbaine) qui a duré presque 2 ans, conçu par l’architecte du musée Mucem. Aujourd’hui, l’appellation Place Clémenceau lui sied bien mieux, que la dénomination un peu froide de » place de marbre »
Elle est devenue une belle place provençale ombragée. Elle est accueillante. Plusieurs centaines de végétaux ont été plantés dans le jardin attenant sur la place et ses abords. Les oiseaux et les insectes vont être à la fête. Les bigaradiers vont se parer de fleurs parfumées puis de fruits-mandala orange pendant l’hiver et même plus. De quoi nous donner du baume au cœur. La couleur orange est la couleur de la bonne humeur et vous savez ce que je pense de la sphère….

Les ombrières qui lui faisaient défaut apportent aujourd’hui originalité et fraîcheur.



La magnifique rosace centrale (inspirée de celle de la place del campidoglio oeuvre de Michel-ange) donne une structure centrale bien campée. Elle rayonne, pacifie, unifie et met en liaison toutes les parties de la ville, le nord comme le sud , l’est comme l’ouest , les jardins, tout comme l’ancienne et la nouvelle ville et met en valeur la fontaine qui rafraîchit la place . En plus, elle lui confère un petit air d’Italie.

J’aime aussi son côté populaire et enchanteur, le manège circulaire va attirer et réjouir un grand nombre d’enfants.La sculpture du Duc d’Anjou (frère de saint Louis) n’a pas été oubliée, elle a juste changé de place. Elle regarde du côté de la place et de la mer et c’est tout aussi bien quand on connaît l’histoire du Duc d’Anjou.Demain c’est le grand jour, demain c’est le jour de l’inauguration et la place sera fin prête.
*Aujourd’hui 11 octobre 2020, ce bel arbre que l’on voit au fond , ce grand ginkgo biloba de 150 ans d’age a failli mourir par marque d’ anticipation. Mettre de grosses dalles de béton sur une place et les nettoyer à l’acide sans penser aux dégâts que cela pourrait causer à la végétation environnante c’est une grossière erreur. Les dalles se situent à à peine 3 mètres et les racines d’un tel arbre peuvent avoir un rayon de 20 mètres… Ce bel arbre qui a vu plusieurs guerres est rester sans feuille pendant plus d’un an. Aujourd’hui, alors qu’il se murmurait que la mairie allait le faire abattre, des pousses repartent un peu partout sur le tronc et les branches. A-t-il su ce qui se tramait ? Dans un ultime sursaut pour survivre a-t-il fait une montée de sève, c’est étrange, nous sommes en automne et pas au printemps, en automne, en général, cet arbre se pare d’écus d’or et ses feuilles tombent…
Ps : Que cela soit pour ceci ou pour cela le maître mot c’est l’anticipation, prévoir en amont ce qui pourrait se passer. Notre société dite de progrès s’en fiche et nous risquons bel et bien d’aller vers une énorme catastrophe qui impacterait même l’avenir de notre planète *
Jour d’inauguration : C’est la fête


La place est noire de monde


Nota bene : S’inspirer n’est pas copier. Je pense que la nature et les fleurs par leur magnifique architecture bien centrée, souvent autour d’une rosace, sont de grandes inspiratrices….

Regardez
mars 2nd, 2019Regardez-
Respirez-
L’air est enchanté
De l’autre côté de février,
Baignés de lumière,
Délicieusement parfumés,
Merveilleusement étoilés,
Fleurissent les amandiers.
=Jour heureux=
-Souriez
Brigitte Gladys

Souris, c’est ton anniversaire, ….La vie est belle. Le passé est passé et l’avenir reste à venir. Aujourd’hui, c’est un nouveau jour, il est unique, le présent est un cadeau qui passe vite alors profites en bien****
Pour moi le bonheur, c’est d’être dans l’instant tout en étant relié au centre de soi et connecté à la beauté de la nature
Couleur mimosa
février 14th, 2019
Couleur mimosa
février 11th, 2019
Là,
La nature révèle sa beauté
-Pompons jaunes-
De Nice à la Ciotat
Plein feu sur les mimosas
Chariots de joie
-Pompons jaunes-
Là,
Les collines se sont illuminées
et les abeilles bombinent déjà
-Pompons jaunes-
Brigitte Gladys
Ps : Vous avez compris, j’aime les mimosas et leur couleur jaune vibrante et tonique, j’aime leurs fleurs en forme de petits pompons duveteux.
Hier est passé, comme ce mot l’indique, et le passé ne reviendra pas. Se concentrer sur le moment présent quand il est beau apporte la sérénité. La nature, en ce qui me concerne, me procure des émotions, des vibrations délicieuses et des instants de bonheur.
Regarder, ressentir, respirer, c’est une manière vivante de vivre.
Ps : Si la liberté avait une couleur, ce serait le jaune, car, c’est la couleur qui a le plus d’éclat, c’est une couleur que l’on ne peut pas mettre en cage, elle s’évade vite. Sur un tableau, elle s’échappe du cadre. Je l’aime pour le visuel, sa chaleur, sa générosité, la joie qu’elle procure…. mais, je l’aime aussi pour sa liberté de rayonner…..
Elle répondait au nom de Blanchette.
février 6th, 2019Si les personnes qui mangent de la viande devaient tuer l’animal qu’elles s’apprêtent à manger où si elles visionnaient un film de la naissance de cet animal à sa mise à mort, peut être qu’elles seraient moins accrocs à la viande.
La terre était bien cultivée suivant des techniques ancestrales et les animaux bien nourris mais, la vie à la campagne était rude. On ne faisait pas dans la dentelle. Pour une âme aussi délicate que la mienne c’était révoltant. Ce n’était pas un endroit pour moi. J’étais une enfant, j’assistais à toutes ces scènes -impuissante- Cela me retournait le cœur…
Les animaux étaient élevés dans le but d’être mangés tôt ou tard. Ce fut le cas pour l’adorable biquette que j’avais vu naître et que vous voyez là. J’ai toujours aimé les animaux. Je savais leur parler et les apprivoiser. Blanchette était comme une copine de jeu…

La journée que je détestait le plus, c’était celle où on tuait le cochon. Des voisins étaient conviés à cet effet, c’était un peu la fête, mais, pas pour moi.
Ce jour là, il y avait fort à faire. Moi, encore plus que d’habitude, j’étais à l’abandon. Je me terrais dans la pièce la plus reculée de la maison . Accroupie dans un coin, les deux mains sur les oreilles, j’attendais que le cochon soit tué. Quiconque entend le cri du cochon qui meurt, ce cri qui peut durer 10 mn, s’en souvient toute une vie, en tous cas mes oreilles musiciennes en ressentent encore la terrible souffrance .
Le steak qui est dans votre assiette ne pousse pas sur des arbres, beaucoup d’animaux meurent pour rassasiez cet appétit de viande. Est il nécessaire d’en tuer autant et d’en manger tous les jours ? Bien sur c’est un business qui rapporte beaucoup … Mais, manger autant de viande, c’est aussi un phénomène culturel et un phénomène de mode et la mode cela se change. Les chefs cuisiniers ont un rôle à jouer en inventant de succulentes recettes sans viande (baies, graines,légumes et plantes diverses…)Pourquoi pas, nos lointains ancêtres s’en délectaient bien. Pareil pour les cantines scolaires qui devraient proposer de temps à autre des menus sans viande. Manger de la viande tous les jours ce n’est pas une obligation.
L’élevage industriel pollue énormément l’environnement. Il contribue grandement aux émissions de gaz à effet de serre encore plus que les transports….Ces gaz augmentent irrémédiablement la température de la planète. Par ailleurs ces animaux sont shootés aux hormones et aux antibiotiques. Avec la surconsommation de cette viande et celle d’aliments raffinés gonflés en sucres ajoutés et en conservateurs, Il ne faut pas s’étonner de voir le nombre d’obèses augmenter régulièrement. Donc, faisons un bon geste pour les animaux, notre terre et nous même.
Je ne suis pas devenue complètement végétarienne, je mange de temps en temps un peu de viande (pas crue), la vision de la viande sanguinolente me rappelle de très mauvais souvenirs et j’en ai horreur.
Réduire sa consommation de viande permet d’œuvrer pour la sauvegarde de notre planète entre autre.
Je suis bien curieuse de voir ce que penseront les générations futures de notre mode de vie actuel. Encore faut il qu’il y ait des générations futures ?
Alors, vous attendez quoi pour vous y mettre ? Agissez !
Manger de la viande c’est loin d’être une obligation. J’ai connu une personne atteinte d’un cancer du sein et puis de la thyroïde au décès de son mari à l’âge de 45 ans .
Elle a carrément supprimé toutes viandes sur les conseils de médecins spécialistes dans ce domaine . Elle a vaincu son cancer et est morte récemment à l’âge vénérable de 90 ans.
Alors, ne pas manger de viande cela peut être aussi une panacée pour guérir diverses maladies.
JE salue au passage l’engagement indéfectible et le travail formidable effectué depuis des décennies par de nombreuses associations (protection animale, protection environnementale) quelles soient d’ici ou bien d’ailleurs.
Les bêtes ne sont pas si bêtes que cela, elles ont leur propre intelligence.
Je me souviens encore du jour où mon père a vendu Florie, sa jument pour l’abattoir.
Elle avait déjà un certain âge et un caractère bien trempé. Il était la seule personne à qui elle obéissait. Quand le camion est arrivé et a stationné devant l’écurie. Mon père est allé la chercher. Elle a compris qu’il avait trahit sa confiance. Elle s’est échappée en lui filant une ruade bien sentie qui faillit lui casser la jambe.
C’est un bon début
janvier 28th, 2019C’est un bon début


Ce matin là, j’ai d’abord cru que c’était un poisson d’avril mais non c’est bien vrai et c’est une première nous espérons que cette merveilleuse initiative fasse des émules…
Article daté du samedi 30 mars 2019
Mes vœux pour 2019
janvier 2nd, 2019Moi, citoyenne du monde, je souhaite une bonne année et une bonne santé à la terre. Si la terre va bien, c’est aussi une bonne année pour nous tous.
J’aimerais que cette terre , notre terre qui a été particulièrement malmenée ces cinquante dernières années soit davantage respectée. Elle est en colère et, au travers d’ouragans, d’inondations et désastres multiples, elle nous le fait savoir.
Si l’homme a été capable d’inventer toutes sortes de machines et d’industries pour son profit personnel, sans avoir du recul et connaître les conséquences de ses actes, il est tout à fait capable, maintenant qu’il est informé, qu’il est conscient de son impact négatif, il est tout à fait capable de diminuer, voire de stopper les nuisances qu’il a causées.
Il peut faire preuve d’inventivité, trouver des solutions pour inverser la tendance. Ainsi la planète ira mieux, elle sera moins agressée et moins polluée.
Si les dirigeants de tous les pays du monde s’entourent de sages, de savants, de chercheurs (toutes disciplines confondues), on peut rectifier le tir, on peut changer la donne.
Ensuite, j’en suis convaincue, l’éducation des enfants peut sauver le monde.
Ils sont naturellement tournés vers la nature et les animaux. Ce serait donc une joie pour eux et non une punition que de travailler sur ce thème.
Nous avons une discipline qui se nomme sciences et vie de la terre, aujourd’hui, nous devons rajouter une autre discipline encore plus importante « sciences et survie de la terre » et ceci, dès le plus jeune âge jusqu’à l’université et plus…Les travaux pratiques sur le terrain seront la clef du succès. Cette activité doit développer une conscience collective, l’action juste et un amour sain de notre planète.
Un exemple de travail tout simple qui a du mal à décoller : Le tri sélectif
Il existe depuis au moins 100 ans, pourtant certaines municipalités rechignent à la tâche et le dispositif n’est pas mis en place. Donc il n’y a pas de tri sélectif, pour réduire les déchets et les valoriser. C’est pourtant un bon projet.
Si chacun fait sa part, si chacun fait un petit geste, notre belle terre est sauvée, non pas par la force, mais par la sensibilisation et la bonne volonté de tout un chacun.

Assise sur les épaules de mes ancêtres, j’aimerais découvrir au loin une planète où les papillons volettent où les oiseaux chantent et où les fleurs abondent dans les prairies. J’aimerais trouver dans les haies, les petites pommes rondes et rouges et celles dites « museau de lièvre » de mon enfance. Ce sont des variétés de pommes anciennes délicieuses. Elles ne sont pas grosses, mais, elles ont traversé les siècles sans aucun sulfatage. Ce qui n’est pas moindre. Pour faire évoluer les choses, il faut revenir à des espèces anciennes des espèces non modifiées génétiquement.
J’aimerais voir une mer scintillante et saine dont le bleu se confond avec le bleu du ciel.

Je souhaite une très bonne et douce année 2019 à la terre.
Brigitte Gladys
¨¨Noël¨¨
décembre 23rd, 2018
¨¨Soir de Noël¨¨
Dans la lumière,
2 papillons valsent
Sous la lampe
La nuit est noire
La lampe est claire
La nuit est profonde
La lampe éclaire
La nuit est froide
La lampe luit
Tout la haut*
« La lune scintille »
Le ciel donne un signal
pour le grand bal
-Froissement d’ailes-
-Chemin lumineux-
Dans un char serti d’opales
apparaît la brillante étoile*
« La lune scintille »
A nouveau*
Tout espoir est permis
-A nouveau
La vie nous sourit
La nuit est belle
La nuit est douce
« La lampe brille »
Joyeux Noël à tous ¨^..
Brigitte Gladys
