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Mandalas fleurs de sel

vendredi, septembre 21st, 2018

Petit rappel : Le mot mandala vient du mot sanskrit qui signifie cercle ou circonférence et par extension sphère . On retrouve cette forme dans toutes les cultures.

Elle est présente constamment dans la nature (fleurs, plantes, graines) . Elle brille dans le cosmos (planètes, étoiles…)

Elle est présente dans le corps humain ( yeux, nombril, seins)

On la voit son influence tout autour de nous dans les architectures et dans les objets du quotidien .

 

 

 

-Support papier aquarelle, encres, pastels et cristaux de sel qui accrochent la lumière.

La  forme parfaite du cercle et la couleur verte associées sont un merveilleux support de méditation et de con-centre-ation La couleur verte correspond au chakra du cœur et le renforce. Elle harmonise l’énergie du cœur. Notre cœur reçoit notre sang qu’il nous  redistribue de la naissance jusqu’à la mort. C’est le chakra de l’amour inconditionnel.

Donner et recevoir, recevoir et donner sans aucune condition permet la continuité de la vie.

La forme circulaire et le vert de la forêt, le vert de la chlorophylle, le vert de l’émeraude ou de la chrysocolle, le vert de l’océan, le vert de l’argile, pour se sentir bien …

Méditez sur ce mandala vert , respirez du vert, vivez cette couleur et votre corps se remplira de bien être et de sensations agréables.

 

La souffrance, un lien …

dimanche, août 19th, 2018

La souffrance est un lien intime qui vous veut du mal.

Nous avons tous été confronté à elle ne serait ce que par le traumatisme de la naissance. Ce traumatisme est souvent minimisé par la douceur et l’amour des bras des parents qui vous accueillent. Parfois, il est empiré, si vous n’êtes pas un enfant désiré et si l’on vous rejette.

Quand je suis arrivée ma mère ne voulait pas d’enfant, (sans doute avait elle ses raisons) elle a essayé de me faire passer sans succès, cela n’a pas marché. J’étais accroché à la vie et je voulais la vivre, même si le prix à payer en serait le prix fort.

 

J’ai été la dernière à lui dire adieu, sans doute m’attendait elle ?  avait elle besoin de mon pardon pour partir ?

Un petit enfant aime sa mère et attend de l’amour d’elle.

C’est très difficile de pardonner à quelqu’un qui vous a fait beaucoup de mal. Je lui est pardonné. Je l’ai appelé maman… Elle s’est éteinte peu de temps après.

Son visage s’est détendue, je sais qu’elle était en paix.

 

Son manque d’affection, sa maltraitance ont été comme une marque de fabrique. Même si, dans ma malchance, j’ai eu le bonheur d’être entourée et aimée par mes grands parents jusqu’à l’âge de six ans, J’ai été très tôt conditionnée à la souffrance, et au rejet.

Au cours de ma vie, j’ai manqué de confiance en moi. J’ai connu la dépression, l’anorexie et de nombreux abandons sentimentaux et pour terminer ce terrible accident accompagné d’atroces souffrance. J’ai du réapprendre à écrire à marcher. J’ai eu plusieurs opérations et suis restée hospitalisée pendant des mois. J’en conserve toujours des séquelles et quand le vent du Nord souffle, je préfère ne pas sortir car, il ravive mes douleurs.

Je ne me plains presque jamais et j’affiche la plupart du temps un large sourire en guise de bouclier protecteur.

Je n’ai pas reproduit le schéma de ma mère. J’ai donné beaucoup d’affection à mes deux enfants qui me le rendent bien.

J’ai aimé le métier que j’ai exercé que j’ai exercé avec passion.  Les élèves que j’ai eu, je les ai aimé  comme si c’était mes enfants. J’ai constaté , que beaucoup manquaient d’écoute et d’affection qu’ils viennent d’un milieu ou d’un autre.

J’ai été appréciée par eux et j’ai été heureuse dans mon travail.

 

Quelques extraits sur la douleur tirés de mon roman « Un éternel soleil »

-Obsédante, insupportable, rebelle la douleur siégeait toujours dans mon corps abîmé-

-J’étais figée sur le dos, incapable de me déplacer d’un millimètre, rongée par une douleur lancinante, sourde, implacable-

-Silence meurtri, silence de mort, paupières closes, bouche fermée…

Tiens toi tranquille ma douleur, tiens toi tranquille, tiens toi à distance, ne soit pas noire, lourde, intraitable et cruelle…

-Ce sont des brûlures, parfois des morsures, parfois des déchirures ou bien de véritables décharges électriques.

Celui qui connaît la douleur profonde, la douleur récurrente (physique ou psychique) connaît aussi la solitude la vraie solitude.

La douleur ce n’est pas quelque chose que l’on va partager en famille, ce n’est pas un gâteau, personne n’en veut.

On ne peut pas non plus la partager avec ses amis, cela fait fuir et cela n’intéresse personne.

On peut bien sur trouver l’oreille compatissante de professionnels de santé mais, une fois que l’on a payé et fermé la porte du cabinet, à nouveau, on se retrouve seul face à elle.

Heureusement, il y a toutes sortes de techniques pour la tenir à distance et souffrir moins. Depuis que j’ai commencé ce blog mandalas et relaxation, j’en ai abordé plusieurs, ne serait ce que l’écriture  (…………….) Elles sont toutes bien, elles calment à des niveaux différents.

Aujourd’hui, pour moi celles qui réussissent le mieux à couper le cercle vicieux de la souffrance, ne serait que pour un temps, ce serait la méditation avec comme support un mandala, la méditation en pleine conscience en accord avec la merveilleuse nature et surtout l’auto hypnose.

Face à la douleur qui vous revient comme un boomerang, face à ce lien intime qui vous veut du mal on est seul mais, on peut travailler certaines techniques pour l’ignorer et la transformer en mieux.

Et c’est ainsi que je ne cesse de me dire que la vie est merveilleuse, que la nature est admirable, que c’est un cadeau et qu’elle vaut la peine d’être vécue.

 

Les choses simples de la vie sont parmi les plus belles.

Apus apus, les martinets !

samedi, juillet 14th, 2018

Apus apus, les martinets !

Fin  printemps

Début juillet

Cris vibrants

 

Apus apus les martinets !

En bandes joyeuses et serrées,

Rondes sonores dans le ciel

Leur grand bec ouvert,

Ivres d’air et de lumière

Ils déploient leurs ailes.

Acrobates rapides et agiles,

Ils s’élancent-dansent-glissent

Virevoltent-vrillent-frémissent

Font des boucles dans le bleu

Voltigent et planent——–

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Apus apus les martinets !

-Habileté, agilité, fluidité-

Piquent jusqu’au lac,

Boivent une gorgée

Remontent en flèche

-Hourvari strident-

 

Le pont est remplie de pépiements

°Aux nids cachés°

Les petits grandissent doucement,

Ils sont bientôt fin prêts

pour la grande traversée

qu’ils effectueront sans les aînés.

Apus apus les martinets !

 

Brigitte Gladys

 

Les martinets sont des oiseaux merveilleux.

Ils sont là depuis la nuit des temps. C’est une espèce protégée car le nombre de martinets séjournant en France a diminué de moitié.

Loi du 10 juillet 1976, art L 411-1

Apus apus signifie sans pied sans pied, en fait, ils en ont de petits avec des griffes qui leur servent à s’accrocher aux parois des murs. Sinon ce sont des  oiseaux  qui passent leur vie, dans le ciel, en volant, ils peuvent monter jus-qu’ à 3000 mètres de haut  et parcourir 800 km par jour.

Avec des pointes de 200 km/h, ils sont parmi les animaux les plus rapide du monde. Ils approchent de leur nid à plus de 60 km/h

Nos martinets ne construisent pas de nids extérieurs comme les hirondelles. Ils nichent sous les tuiles et dans la moindre faille des vieux bâtiments. Ils ont besoin de hauteur pour se lancer ( s’ils tombent, ils ont beaucoup de mal à repartir)

Quelques conseils avisés sur ces sites :

https://www.mauersegler.com/found/?L=fr

https://www.mauersegler.com/swift/?L=fr

Quand les martinets reviennent d’Afrique, ils retournent à l’emplacement de leur ancien nid pour  y élever une nouvelle famille, si celui ci a disparu, ils sont sans-abri.

NE DÉTRUISEZ PAS LES NIDS DE MARTINETS.

Laissez les nids existants intacts.

Dire à la LPO où vous voyez des nids de martinets.

Les martinets ne salissent pas les façades.

Toute perturbation ou destruction des nids constitue un délit sanctionné par la loi : 15000 euros et/ou 1 an de prison.

Même si vous ne les remarquez pas, ils vous accompagnent toute votre vie.

J’ai une affection toute particulière pour eux.

Suite à mon  grave accident à Toulouse, j’ai du rester hospitalisée très longtemps à plat dos sans bouger. Je ne les voyais pas mais, j’entendais leurs cris joyeux animer le ciel, cela me mettait du baume au cœur. J’avais tout le temps de les imaginer, libre, en train de virevolter dans les airs et cela m’apportait du bonheur.

Aujourd’hui, je suis chanceuse. J’ai  une famille de martinets qui a élu domicile juste en face et à la hauteur de mon appartement. C’est un spectacle merveilleux  de les voir évoluer avec aisance.

j’ai de la chance et vous aussi si vous prenez le temps de les observer.

Hymne à la nature

lundi, avril 2nd, 2018

J’aime la scintillante nature,

la forêt baignée d’air pur

et bénie de rosée.

J’aime les grands arbres

à la puissante ramure

bruissants d’oiseaux.

Gonflés de sève ,

ils s’élèvent vers le ciel,

caressant le soleil,

les pétillantes étoiles

et la lune qui resplendit

la nuit, tout la haut.

J’aime les délicieuses fées

cachées sous les lichens.

J’aime  aussi les dryades

qui dansent sur la mousse

tout autour des grands chênes,

les nymphes des cascades

et, sur le dos des champignons,

les petits lutins assis en rond.

J’aime encore les papillons

qui palpitent dans les près

et les  libellules irisées

qui voltigent

de tige en tige….

«  » » » » » » » » » » » » » » » » »

Et vous, qui aimez la  forêt,

la florissante nature et

son  monde enchanté,

que vous soyez

d’ici, ou d’ailleurs

Je vous aime aussi.

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Brigitte Gladys

 

Fleurs de murailles…

mardi, juillet 5th, 2016

A l’ombre des murailles d’Hysaria fleurissent les gueulent de loup et les coquelicots

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A Hysaria, les vestiges sont très nombreux et particulièrement bien conservés sans doute parce que les romains sont arrivés tardivement sur ce lieu et que peut être que contrairement à Plovdiv, la ville n’a pas été complètement rasée au moment des différentes invasions barbares. Les envahisseurs ont ils composés avec les romains ? Les vestiges sont donc partout très présents . Ils font partis de la ville.

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Bulgarie mai 2016 434L’Europe participe à la restauration de  ce lieu magnifique.

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Les belles promenades le long des vestiges sont nombreuses et très agréables, Hysaria est vraiment une ville où il fait bon vivre où le passé et le présent se marient harmonieusement.

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Le voyage de Monsieur citron

jeudi, avril 2nd, 2015

se termine et le mien aussi.

Menton 376

 

Petit à petit

Menton 394

Le ciel a viré au gris et la pluie s’est mise à tomber.

La fête a été très belle adieu Menton et Monsieur citron à l’année prochaine ….

Une pluie de petits soleils…..

vendredi, janvier 23rd, 2015

sirène et mimosa 005 (2)A petits pas de fée les mimosas préparent en secret et en beauté  leur habit de lumière.

Les fleurs sont le symbole d’un éternel renouveau et les milles et un  petits soleils d’or des mimosas encore plus.

Le mimosa est une fleur de l’hiver qui  peut,  dès la fin janvier  déployer ses pompons  jaunes couleur de bonne humeur.

Ils chassent avec leurs fleurs  mandala-soleil  la mélancolie de l’hiver et nous laissent présager des jours meilleurs .

mimosa de février 012

Dans les rues de la ville

vendredi, avril 19th, 2013

Dans les rues de la ville il y a mon amour.

Peu importe où il va dans le temps divisé.

Il n’est plus mon amour, chacun peu lui parler.

Il ne se souvient plus; qui au juste  l’aima ?

et l’éclaire de loin pour qu’il ne tombe pas ?

René Char

Valence-et-célèbre-kiosque-à-musique-012

Les chemin de sagesse.

dimanche, septembre 16th, 2012

Je vous propose un morceau choisi d’un de mes écrivains et penseurs spirituels préférés : Arnaud desjardins : Les chemins de la sagesse.

L’art est apprécié à travers les émotions, les goûts, les névroses individuelles ou collectives, les modes, le jeu de l’action et de la réaction. Tout est dépendant, conditionné, relatif et il n’y a en vérité, ni beau ni laid : Il y a ce que chacun aime et n’aime pas. Mais il y a, dans tous les arts, des niveaux de réalité, des niveaux de proximité ou d ‘éloignement par rapport au « Centre », au but de la vie. Ces niveaux, eux, ont une valeur objective. Le sage, qui est arrivé au bout du chemin, peut comprendre tous les niveaux. Les autres hommes ne comprennent pas : Ils sont attirés ou ils ne sont pas.

Le chercheur de vérité reconnaît peu à peu les oeuvres d’art qui lui parlent de son but ou qui lui en montre le chemin.

L’ancienne petite maison dans la prairie.La maison sans livre.

mardi, novembre 8th, 2011

Autrefois on pratiquait la polyculture sur ces terres. Il y avait beaucoup d’arbres(saule, vergne, ormeau, peuplier) aujourd’hui presque tous les arbres ont été arrachés et la prairie a disparu

Le propriétaire actuel pratique essentiellement la culture de maïs.

J’ai beau chercher une fleur, je n’en voit aucune. Peut être que ce n’est pas la saison ou peut être qu’il y en a plu.

Il n’y avait pas de livre dans cette maison. Le point positif de cette vie là c’était les rencontres entre voisins à l’occasion des vendanges, des moissons et des travaux d’hiver. Cela se terminait par une tablée de 20 personnes autour d’un gros repas très animé où l’on parlait surtout de la vie à la campagne . La transmission des savoirs était orale.

L’arrivée des grosses machines et de la monoculture a petit à petit sonner le glas de ces rencontres et de cet entre-aide.