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La vie des oiseaux le long des rives du lac : Le grèbe parade en rond avant de plonger

lundi, août 15th, 2011

Sur les rives du lac d’Annecy bébés-canards en promenade…

dimanche, août 14th, 2011

Famille canards en promenade.

Sur le lac , mandalas de l’oiseau blanc.

samedi, août 13th, 2011

Sur le lac

-Mandalas de l’oiseau-

-Ivre de bleu-

-Ivre d’air-

-E léguant et fier-

-Le cygne blanc-

-Cercles de lumière-

 

 

Tellement bleu que l’on a envie de s’y baigner ….

vendredi, août 12th, 2011

C’était en juin, tôt le matin, il faisait frais mais, il n’a pas résisté à faire une petite promenade dans l’eau bleue du lac avec son chien.

Il y a beaucoup de sportifs aux abords du lac,on court on fait du vélo, on nage, on fait de la voile et puis après, une bonne grimpette sur les flancs des montagnes qui de loin en loin nous font signe.

Rien que du bleu. Paysage bleu

vendredi, août 12th, 2011

Voyager rapproche le lointain pour le faire sien.

jeudi, août 11th, 2011

 Le lac d’Annecy, le matin, fraîcheur, douceur du camaïeu de bleus… Quel bel endroit pour se promener, méditer et se ressourcer.

Mandala-poésie à quatre feuilles et anneau d’or .

mercredi, août 10th, 2011

Porte bonheur la poésie ?

Porte amour la poésie ?

Porte la vie la poésie ?

Porte la mort ?

Le temps passe

Les mots s’effacent un peu

virent au bleu

-fleurs bleues-

virent au violet

-violettes-

Je les chasse

Ils persistent

Ils insistent

Laissent une trace

et reviennent

en anneau d’or

-On s’aime-

Je suis née mariée,

mariée à la poésie

Pour le pire

Faut-il en rire?

Pour le meilleur

 

J’offre mon coeur

-Porte amour-

La poésie

-Porte bonheur-

Page et illustration tiré du site http://arbrealettres.wordpress.com

 

Certitude

Si réelle est la blanche lumière
de cette lampe, réelle
la main qui écrit, sont-ils réels
les yeux qui regardent ce qui est écrit?

D’un mot à l’autre
ce que je dis s’évanouit.
Je sais que je suis vivant
entre deux parenthèses.

***

Cerceza

Si es real la luz blanca
de esta lámpara, real
la mano que escribe, ¿son reales
los ojos que miran lo escrito?

De une palabra a la otra
to que digo se desvanece.
Yo sé que estoy vivo
entre dos paréntesis.

(Octavio Paz)

Illustration

 

Commentaires

Brigitte a dit

11 août 2011 à 4:20

D’un mot à l’autre
Ce que je dis s’évanouit…

Belle photo de page écrite et beau poème aussi.
Les mots dits s’envolent peut être mais, la feuille blanche accueille et recueille les mots de toutes les couleurs pour y laisser une trace vivante….
Savoir écrire, c’est merveilleux parce que la mémoire du dire est volatile, les mots déposent une empreinte…
Un de mes grand-pères ne savait pas écrire il signait avec une croix. Je réalise que j’ai beaucoup de chance de savoir écrire.

Répondre
  • Arbrealettres a dit

    11 août 2011 à 10:11Oui RIEN ne reste au final de tous ces mots sauf quelques auteurs ou poètes qui persisteront un peu plus longtemps… c’est la vie!
    Qu’importe écrire même pour soi oui quel privilège
    Merci Brigitte de ce passage en P’OASIS (-:

 

 

 

Une philosophie de vie.

lundi, août 8th, 2011

Voir dans chaque grain de sable un monde

et dans chaque fleur un champ de paradis.

Citation de william Blake  poète anglais.

Vous en saurez plus en lisant mon ouvrage intitulé un éternel soleil.

La fleur de roncier

Elle s’épanouie le long de la voie férrée

De rose délicatement parée

Merveilleusement architecturée

Délicieusement ouvragée

Elle offre du bonheur

à qui sait la regarder.

Je n’en vois pas les épines.

 

 

Une chanson en forme de poème de Polnareff que j’aime beaucoup en partage.

samedi, août 6th, 2011

De la mort à la vie et de la vie à la vie …. Un éternel soleil mon ouvrage paru chez Edilivre.

jeudi, août 4th, 2011

Un terrible accident de voiture sur la nationale qui brise tout sur son passage. Un évènement imprévu qui fait basculer sa vie dans un cauchemar  noir et absolu.

Le choc effroyable, un cri déchirant , la douleur implacable qui vous broie les os, la perte connaissance. La vie qui s’en va.

Plus tard, le réveil confus, la mémoire est défaillante, le passé et le présent se confondent. Immobilisée à plat dos, écrasée de douleur…. Vivre ou mourir, mourir ou vivre ?

Quels sont les éléments qui m’ont poussée à survivre ?

Il aurait été si facile de basculer de l’autre côté et de dire comme le poète désespéré Pavese : « Et la mort viendra et elle aura  tes yeux ». Le poète a écrit ces vers en pensant à la femme qui l’a abandonné.

Où ai-je- puisée la force pour surmonter la souffrance et cette épreuve qui va bouleverser et changer mon existence à jamais ?

Ce sont les questions soulevées dans cet ouvrage inspiré par une douloureuse expérience de vie.

La mort est au bout du chemin, c’est le sort de tout un chacun mais, il faut  continuer son chemin en se tenant debout  et créér sans relâche.  La mort n’est pas le but ultime c’est juste un passage, autant vaut-t-il que cela soit un beau passage.

Moi, j’aimerais la mort soit douce, sans cri, qu’elle arrive à petit pas, que j’ai le temps de l’en-visager, de l’apprivoiser  alors, j’entrerai en méditation pour atteindre l’extase.

j’aimerais partir sans souffrance. La pire des morts, c’est quand il y a violence et qu’elle vous surprend sans prévenir.

La couverture de mon ouvrage est une oeuvre personnelle.