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Poubelle

jeudi, octobre 8th, 2020

Je n’aimerais parler que des jardins et de la beauté éternelle des fleurs mais, le monde n’est pas fait que de jardins et de fleurs….

Qui connaît Eugène Poubelle ce valeureux préfet de la Seine ? Ce juriste visionnaire imposa en 1883, contre vents et marais, la collecte des ordures ménagères placées dans une récipient et sorties dans la rue par les concierges. Celui ci prendra le nom de « poubelle » grâce à la méchanceté de ses détracteurs qui jugèrent les mesures du préfet Poubelle scandaleuses. Et pourtant ce précurseur génial avait même pensé, entre autre, à l’intérêt du tri sélectif.

Plus d’un siècle est passé mais les mentalités peine à changer surtout dans l’endroit où j’habite.

Le ramassage des ordures ménagères, le tri sélectif et le recyclage n’intéressent pas les décideurs de la région. C’est ainsi que dans ma résidence, pourtant placée dans l’artère principale de la ville, il n’y a pas de poubelle de tri sélectif. Ce n’est pas faute de l’avoir demandé … La réponse en est la suivante :

_Votre rue n’est pas concernée par le tri sélectif et le camion de ramassage n’y passe pas.

Voici l’état de nos poubelles aux meilleurs jours.

C’est ainsi que matelas, objets de rebut sont lâchement déposé dans la cour de l’immeuble…Nous sommes presque à l’époque d’avant Monsieur Le Préfet Poubelle, on jette par la fenêtre les détritus encombrants et personne ne pipe mot.

Ici, c’est violent, on brûle votre voiture si vous protestez ou bien pire – un maire du département s’est fait écraser par des contrevenants parce qu’il s’opposait à une décharge en plein champ.

Pourtant il y a de l’or qui dort dans nos poubelles (or-durable) et un bon traitement des ordures et un recyclage de tous les objets-rebuts que notre société produit permettrait de lutter contre le réchauffement climatique . Par ailleurs, elle serait source de multiple création d’emplois.

Si l’on ne fait rien bientôt notre belle planète disparaitra sous un tas de détritus et d’objets de rebuts…

Dans le département il n’y a qu’une seule unité de valorisation des déchets (incinérateur). On ne peut plus creuser de trou pour les enfouir, alors on les exporte dans d’autres département pour les enfouir, mais, est ce là, la solution?

Il y a longtemps que je me penche sur ce problème sans grand succès, il faut bien le dire. Et j’en ai payé le prix fort. Cependant, j’ai l’espoir que cela change. Comme je l’ai dit précédemment j’ai eu l’honneur de participer à la convention citoyenne pour lutter contre le réchauffement climatique (CCC) . Je fais parti du groupe qui a traité ce problème. Nous l’avons abordé sous tous les angles et je souhaite, comme toutes les personnes de mon groupe et de la convention citoyenne qu’il soit entendu et retenu par le ministère de la transition écologique et solidaire qui nous recevra la semaine prochaine.

Brigitte Gladys Marobin

Nom de plume : Brigitte Gladys

Ps : Merci Monsieur Le Président pour la lettre que vous nous avez adressée à nous , membres de la convention citoyenne, le 12 octobre 2020.

Au début de l’été, après d’intenses travaux, nous avons rendu notre rapport. A cette occasion vous nous avez indiqué la volonté de reprendre la quasi totalité de nos propositions et de les transmettre au parlement pour débat et adoption. Vous vous accordiez trois jokers…

La crise sanitaire n’arrange pas les choses, cependant, je me réjouis d’apprendre qu’au moins trente de nos mesures ont été adoptées et déjà mises en route et que 6 autres également, notamment une mesure consistant à renforcer la tarification incitative de la gestion des déchets.

Je souhaite que cette gestion soit la même pour chaque région de France.

Merci beaucoup

Mes vœux pour 2019

mercredi, janvier 2nd, 2019

Moi, citoyenne du monde, je souhaite une bonne année et une bonne santé à la terre. Si la terre va bien, c’est aussi une bonne année pour nous tous.

J’aimerais que cette terre , notre terre qui a été particulièrement malmenée ces cinquante dernières années soit davantage respectée. Elle est en colère et, au travers d’ouragans, d’inondations et désastres multiples, elle nous le fait savoir.

Si l’homme a été capable d’inventer toutes sortes de machines et d’industries pour son profit personnel, sans avoir du recul et connaître les conséquences de ses actes, il est tout à fait capable, maintenant qu’il est informé, qu’il est conscient de son impact négatif, il est tout à fait capable de diminuer, voire de stopper les nuisances qu’il a causées.

Il peut faire preuve d’inventivité, trouver des solutions pour inverser la tendance. Ainsi la planète ira mieux, elle sera moins agressée et moins polluée.

Si les dirigeants de tous les pays du monde s’entourent de sages, de savants, de chercheurs (toutes disciplines confondues), on peut rectifier le tir, on peut changer la donne.

Ensuite, j’en suis convaincue, l’éducation des enfants peut sauver le monde.

Ils sont naturellement tournés vers la nature et les animaux. Ce serait donc une joie pour eux et non une punition que de travailler sur ce thème.

Nous avons une discipline qui se nomme sciences et vie de la terre, aujourd’hui, nous devons rajouter une autre discipline encore plus importante « sciences et survie de la terre » et ceci, dès le plus jeune âge jusqu’à l’université et plus…Les travaux pratiques sur le terrain seront la clef du succès. Cette activité doit développer une conscience collective, l’action juste et un amour sain de notre planète.

 Un exemple de travail tout simple qui a du mal à décoller : Le tri sélectif

 Il existe depuis au moins 100 ans, pourtant certaines municipalités rechignent à la tâche et le dispositif n’est pas mis en place. Donc il n’y a pas de tri sélectif, pour réduire les déchets et les valoriser. C’est pourtant un bon projet.

Si chacun fait sa part, si chacun fait un petit geste, notre belle terre est sauvée,  non pas par la force, mais par la sensibilisation et la bonne volonté de tout un chacun.

Assise sur les épaules de mes ancêtres, j’aimerais découvrir au loin une planète où les papillons volettent où les oiseaux chantent et où les fleurs  abondent dans les prairies. J’aimerais trouver dans les haies, les petites pommes rondes et rouges et celles dites « museau de lièvre » de mon enfance. Ce sont des variétés de pommes anciennes délicieuses. Elles ne sont pas grosses, mais, elles ont traversé les siècles sans aucun sulfatage. Ce qui n’est pas moindre.  Pour faire évoluer les choses, il faut revenir à des espèces anciennes des espèces non modifiées génétiquement.

J’aimerais voir une mer scintillante et saine  dont le bleu se confond avec le bleu du ciel.

Je souhaite une très bonne et douce année 2019 à la terre.

Brigitte Gladys

Ce que j’aime….

lundi, août 21st, 2017

Les efforts qui sont fait pour maintenir les espaces publics propres. Le tri sélectif est bien présent.

J’aime la nouvelle ligne de métro et le métro tout court. C’est le métro le propre et le plus sympa que j’ai rencontré au cours de mes nombreux voyages,  il est tout neuf et moderne mais…

Ce qui me plait aussi, c’est que toutes les stations ont un nom sous-titré en anglais.

Un petit mandala au sol pour apporter de la sérénité.

Un métro très clean …

J’aime aussi les tramways qui se modernisent de plus en plus.