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Un bien pour un mal

lundi, décembre 17th, 2018

Celui qui a connu la lumière peut endurer la pénombre, celui qui a connu la liberté peut endurer la privation de liberté. Ce qui fait avancer c’est l’espoir de les retrouver.

Jusqu’à l’âge de 18 ans je n’ai pas voyagé bien loin. D’abord, je suis allée de la campagne à l’école et puis de la campagne à la pension, en ville, pendant de nombreuses années.

La pension, c’était un espace clos, on ne sortait que le mercredi, en uniforme, pour une promenade surveillée au parc. A l’intérieur, la discipline était stricte. 

Mais, dans les murs de la pension il y avait une bibliothèque et une multitude de livres qui faisaient mon bonheur. J’avais accès à la culture et cela me plaisait. Grace à eux, je voyageais dans le monde en me promettant qu’un jour, ces voyages, je les ferais pour de bon. Il y avait aussi, quelque chose d’autre qui me plaisait, c’était le chauffage avec des radiateurs dans chaque salle et pour quelqu’un de frileux  qui avait connu les pièces glaciales de la maison de campagne avec des vitres givrées par le froid au petit matin, c’était un luxe . Cela m’a permis, entre autre, de supporter ce lieu fermé.

Quand j’ai quitté la pension j’ai de nouveau expérimenté la liberté et j’ai commencé à voyager dans le monde et le monde m’a fait voyager….

Aujourd’hui, j’aime plus que tout me promener à travers la France qui a des paysages d’une richesse infinie. Chaque département a son histoire et sa couleur et même sa manière de vivre. Ce sont ces découvertes là qui me plaisent.

Pour terminer, la région de Dignes en trois photos.

Bleu lavande

couleur orange

Le marché du samedi

Marseille et sa région peaufine son capital Arts et Culture pour 2013

lundi, janvier 23rd, 2012

Mes coups de coeur.

Les chemins de la sagesse.

vendredi, août 21st, 2009

 Oeuvre personnelle.

Je vous propose un morceau choisi d’un de mes écrivains et penseurs spirituels préférés : Arnaud desjardins : Les chemins de la sagesse.

L’art est apprécié à travers les émotions, les goûts, les névroses individuelles ou collectives, les modes, le jeu de l’action et de la réaction. Tout est dépendant, conditionné, relatif et il n’y a en vérité, ni beau ni laid : Il y a ce que chacun aime et n’aime pas. Mais il y a, dans tous les arts, des niveaux de réalité, des niveaux de proximité ou d ‘éloignement par rapport au « Centre », au but de la vie. Ces niveaux, eux, ont une valeur objective. Le sage, qui est arrivé au bout du chemin, peut comprendre tous les niveaux. Les autres hommes ne comprennent pas : Ils sont attirés ou ils ne sont pas.

Le chercheur de vérité reconnaît peu à peu les oeuvres d’art qui lui parlent de son but ou qui lui en montre le chemin.

Sur la hauteur des cimes, le chant du coucou.

samedi, juillet 11th, 2009

Déployant une infinie palette de verts, la luxuriante et sauvage montagne de Rila possède le plus haut pic de Bulgarie : Le mont Musala qui culmine à près de 3000 mètres.

Vers + 900, Jean  ressentit l’appel du divin et partit à la recherche d’un lieu tranquille et isolé  propice à la prière et à la méditation. Il s’installa dans une grotte de la montagne.

Vers +946 il devient le moine fondateur du monastère de Rila, le plus haut lieu de l’église et de la culture bulgares. Jean devint Saint Jean de Rila.

Point de repère : l’arrivée de la chrétienté dans ce pays se situe vers + 865.

Le monastère est un chef d’œuvre autant par son architecture que par sa collections d’icônes anciennes . C’est un lieu magnifique où les murs racontent des histoires sacréesouvenirs-de-bulgarie-136.JPGs.