Le jour se lève sur le Mont enveloppé d’un voile de fraicheur. Tout est vert y compris dans la ville où de multiple essences sont présentes. Les tilleuls sont en fleurs et l’air est léger et parfumé.
On dénote une abscence d’agressivité chez les habitants peut être parceque la ville baigne dans le vert. Les Sofiotes adore la campagne et on dirait que la nature est descendue dans la ville .
Sofia la capitale qui s’étend au pied du mont Vitocha fut aussi appelée « Sedrets » ou ville qui se trouve au milieu par les Bulgares. Malgré ses blessures encore visibles sur ses murs et dans ses rues, elle a une belle prestance. Sur son emplacement on retrouve une implantation humaine qui date du début du cinquième siècle avant J.C. C’est donc une des plus ancienne capitale d’Europe et même du monde.
Magnifique lieu magique et verdoyant, les plantes se mirent dans l’eau, bonheur des yeux, bonheur du cœur.
Allez y vite cela ne se reproduit qu’un weekend par an et les pelouses du parc sont jonchées de fleurs merveilleuses et rares. Avec le petit mandala tampon ci joint vous pouvez sortir et revenir y passer la journée entière.
Un bien bel endroit pour se promener et se ressourcer, c’est un petit paradis sur terre avec comme toile de fond la Sainte Victoire. Marchez et respirez profondément le parfum des plantes de la colline, admirez le magnifique et saisissant panorama. Les voitures sont parfois interdites sur cette petite route, alors, on peut encore entendre le cœur de Cezanne qui palpite à l’unisson avec la nature.
Un chapeau de paille sur la tête, Cezanne a installé son chevalet en pleine campagne, Cezanne peint la lumière et les couleurs vibrantes du paysage. Silence des grillons, silence cigales ou presque, Cezanne s’imprègne de cette belle nature, il la médite, il est heureux…
Cezanne adorait la nature et en ressentait son bienfait au quotidien.
« Je vais au paysage tous les jours, les motifs sont beaux et je passe ainsi mes jours plus agréablement qu’autre part. »
Cezanne partait d’Aix à pied et passait derrière chez moi avec sur son dos son chevalet et sa boite de peintures. Il y avait alors un petit chemin de terre. Il se dirigeait soit vers Gardanne où l’Estaque où sa femme et sa mère possédait une maison ou bien vers le Tholonet en s’arrêtant parfois au pont des trois Sautets pour peindre les bord de l’Arc. Il empruntait aussi la petite et sauvage route de Bibémus . De cet endroit, il a peint plusieurs tableaux : Le château noir, la montagne et le château noir (1898-1900).
Le peindre adorait s’immerger en pleine nature provençale, elle lui apportait la paix . Peindre cette beauté qui l’entourait lui procurait d’immenses joies. Il avait une cabane sur les flancs de la montagne où il séjournait loin de la ville et de son agitation . De cette campagne Aixoise Cezanne connaissait toutes ses respirations et elle sera sa principale source d’inspiration. Il a aussi loué une chambre dans le Château noir d’
où il avait une vue magnifique sur la Montagne sainte Victoire.
