Archive for the ‘Arts et culture’ Category

Soirée vernissage « Nouvel angles de vue »

vendredi, décembre 7th, 2012

Au vernissage de l’exposition collective de la Fontaine obscure, il y avait beaucoup de monde ce soir là et de très belles photos présentées par chaque artiste photographe  de l’association.L’ambiance était chaleureuse était chaleureuse et conviviale.

Je remercie le président et toutes les personnes qui ont oeuvré à monter cette exposition ce qui a demandé beaucoup de travail et de patience  .

 

Le mandala de la fleur rouge au coeur étoilé vert.

dimanche, décembre 2nd, 2012

Au cours de cette exposition collective chaque photographe exposera les photos de son choix.

Pour ma part , je présenterai encore une fois des photos de fleurs et de  coeurs de fleurs.

Je suis toujours en admiration devant la vibration de leur couleurs.

Leur structure interne quasiment parfaite m’émerveille .

Leur contemplation m’apporte le bonheur et j’espère qu’il fera le votre aussi.

Le fait d’utiliser la macro et la super macro me permet  de montrer la beauté  d’un monde   parfois  invisible à l’oeil nu.

 

Nouvel angle de vues:Exposition collective de la galerie de la fontaine obscure.

mardi, novembre 27th, 2012

Une montagne en appelle une autre et une photo une autre photo prise sous un autre angle de vue.

Nouvel angle de vues est l’intitulé de l’exposition collective de fin d’année de la galerie de la Fontaine Obscure. Les adhérents dont je fais partie  exposent quelques photos de leur choix.

Nous vous invitons à venir nous rencontrer pour le vernissage le 5 décembre à partir de 18 h 30, vos amis sont les bienvenus. N’hésitez pas à jouer les Pères Noël et les Mères Noël   pour votre entourage toutes les photos ou presque sont en vente.

Exposition Hôtel D’OLivary…

samedi, novembre 17th, 2012

Exposition à l’Hôtel D’Olivary

Toutes les fleurs sont mes amies

et les autres exposants aussi.

 

Exposition-vente dans les salons de l’hôtel d’Olivary***

lundi, novembre 12th, 2012

Cet hôtel particulier du XVIIème siècle est situé dans le quartier Mazarin Tout près de la fontaine des Quatre Dauphins. Il a été construit en 1656 selon les plans de l’architecte flamand Jean DARET(1613-1668) et inscrit à l’inventaire en 1943.

Les travaux ont été confiés aux maîtres maçons Jean Jaubert et Laurent Vallon et la décoration au maître gypsier Jacques Escursan, assistés du géomètre Louis Cundier, des maîtres menuisiers Auguste Reynaud et Nicolas Menard, du sculpteur Jacques Fosse et du maître peintre Jacques Macadre.

Cet hôtel est desservi par une vaste cage d’escalier avec une très belle rampe louis xv en fer forgé figurant parmi les plus élégante du quartier.

Ses trois salons en enfilade, joliment décorés de trumeaux et de gypseries, de tentures murales en soierie lyonnaise style Régence, ont été conçus pour les réceptions. Son jardin intérieur à la française d’une superficie de 700 m2 est ombragé par de grands arbres, j’ai tout particulièrement aimé le bassin , les allées de buis et les magnifiques géraniums rouges qui dialoguent avec le vert foncé de l’ensemble.

En 1978, la famille D’Olivary, vieille famille de parlementaires aixois, devient propriétaire de cette belle demeure.

Cet hôtel appartient à ses descendants et donc à la même famille depuis plus de deux cents ans.

En 1884 l’hôtel s’est ouvert au public dans le cadre d’expositions, de concerts, de réceptions et de visites historiques.

www.salonsdolivary.com

C’est dans le cadre des journée du patrimoine que j’ai découvert ce bel endroit et que j’ai eu l’occasion de dialoguer avec la chaleureuse hôtesse des lieux Madame Yvette de Welle.

Je la remercie de m’avoir proposée de participer  à l’exposition-vente de fin d’année.

Date 16 et 17 Novembre 2012 de 10 heures à 19 heures au n°10 de la rue du 4 septembre Aix en Provence..

Entrée libre et gratuite.

Je vous ai préparé un déjeuner raffiné de fleurs  en photos et des délices de poésies le tout sur un tapis de broderies.

Je vous y attends,cela me ferait plaisir de vous y voir et vos amis sont les bienvenus***

Je suis entourée de douze autres exposants qui chacun amène son savoir faire.

Cela passe de la sculpture en fer forgée à la peinture à la photo à la poésie … et pour régaler votre gosier,Vous y trouverez aussi du foie gras du génépi et du vin  bio de Provence…

 

Le quartier Mazarin : Un peu d’histoire.

samedi, novembre 10th, 2012

Au moyen âge le quartier Mazarin n’existait pas, pas plus que le cours Mirabeau.

Aix en Provence était une petite ville encerclée de remparts et entourée de champs.

Ce plan de la ville  par Belleforest- 1575- montre sa  situation à la fin du moyen âge.

L’Eglise et le couvent des prêcheurs ainsi que la cathédrale sont déjà  présents sur ce plan.

Un premier agrandissement de la ville dans l’est de la ville pour donner le quartier de Villeneuve.

Un autre agrandissement va se faire dans le Sud de la ville par le quartier Mazarin. Les remparts sont détruits et la limite de la ville est repoussée.

Le quartier Mazarin a vu le jour pendant la période du règne de Louis  XIV (1661-1715)

Michel Mazarin Archevêque d’Aix en Provence est le frère du Cardinal Jules Mazarin.

C’est à ce même époque que le cours Mirabeau est tracé. Sur le plan de Cordier c’est l’artère principale ornée de platanes.

Le quartier Mazarin est organisé d’une manière très géométrique et orthogonale. Ses rues sont perpendiculaires au Cours Mirabeau.

Le quartier Mazarin comporte un grand nombre de magnifiques  hôtels particuliers et de jardins intérieurs datant de cette époque.

 

Sur la route….

jeudi, novembre 8th, 2012

Sur la route pour aller au marcher du centre ville d’Aix en Provence, j’ai rencontré la nymphe violette de la fontaine des quatre dauphins qui m’a souri et m’a suggérée de faire une pause aux salons de l’ Hôtel D’Olivary au n°10 à deux pas sur la gauche.

La fontaine des 4 Dauphins se situe dans le quartier Mazarin rue du 4 septembre près du cours Mirabeau.

Ce vieux quartier aixois (début de la construction : 1646) comporte de très belles demeures .

Le dauphin était l’emblème des seigneurs de la province. Aujourd’hui il figure sur l’écusson de la région P.A.C.A

Courrez y vite avant que le parcours de phot’Aix soit terminé

dimanche, octobre 28th, 2012

https://plus.google.com/photos/110847953255339639342/albums?banner=pwa

Les parcours de Phot’aix

Les parcours de Phot’aix

organisés par la très dynamique  association de photographes de La Fontaine Obscure.

Philosophons un peu…

jeudi, octobre 11th, 2012

L’hors d’une réunion d’auteurs j’ai échangé mon roman contre un autre écrit par Jacques   Djian  édité chez  Edilivre.

Le titre en est : L’autre dieu

Je mets un extrait de cet ouvrage en partage;

Certains passages sont tirés d’un cous de Victor Delbos à la Sorbonne.

 

Mais que dois je faire pour être sûr d’être heureux ?

Eh bien, nous allons apprendre avec Spinoza, comment faire notre bonheur, notre vrai bonheur. Car, en fait, tout est là : nous recherchons tous notre bonheur. Car, en fait,tout est là : Nous recherchons tous notre bonheur.

Spinoza examine d’abord, en ce premier chapitre, quelles sortes de bien poursuivent communément la majorité des hommes : « richesse, honneurs, plaisirs des sens. Or chacun d’eux distrait l’esprit de toute pensée relative à un autre bien…. Après la jouissance physique vient une tristesse profonde qui, si elle n’asservit pas l’esprit le trouble et l’engourdit.

La poursuite de la richesse enchaîne l’esprit, surtout quand on la recherche exclusivement pour elle -même, parce qu’alors on lui donne rang de souverain bien. Quant aux honneurs, ils attirent et fixent l’esprit avec encore plus de force, car on considère toujours que c’est un bien en soi , une sorte de fin dernière à laquelle tout se rapporte. De plus, contrairement au plaisir, l’argent et les honneurs ne contiennent pas de regret plus on en a plus s’accroît la joie ; c’est pourquoi nous sommes entraînés à les accumuler;  par contre quand nous sommes par hasard frustrés dans notre espoir, nous sommes remplis d’une profonde tristesse. Enfin les honneurs sont un piège subtil parce que  pour les atteindre, il faut diriger sa vie selon l’opinion de la foule, c’est-à-dire fuir ce que fuit le vulgaire, et rechercher ce qu’il recherche.

Ainsi la poursuite des richesses, les honneurs, plaisirs des sens, fait perdre la tranquillité et l’indépendance. Ces joies sont pourries, avec un arrière goût de tristesse. Elles peuvent même faire perdre la vie tout court. (T.R.E paragraphe 3)

« En réalité, toute notre félicité ou notre misère ne résident qu’en un seul point : à quelle sorte d’objet sommes-nous attachés par l’amour ? …. Quand nous aimons des choses périssables, toutes les passions sont notre partage ; surviennent la crainte, la haine, le trouble de l’âme  Mais l’amour allant à une chose éternelle et infinie nourrit l’âme d’une joie pure, libérée de toute tristesse.(T.R.E paragraphe 3). En outre , l’objet infini se donne à tous, et, loin de s’affaiblir, augmente encore par une possession commune » (Ethique, V, 20)

Ce bien sans mesure, que Spinoza nous annonce consiste en la connaissance de l’union qu’à l’âme avec la nature entière…

Un objet de beauté est une joie pour toujours…

mardi, octobre 9th, 2012

A thing of beauty is a joy for ever (John Keats  1795-1821)

Ou bien encore : Beauty is truth, truth is beauty- that is all ye know on earth and all we need to know.

Soit : Beauté est vérité-voilà tout ce que l’on sait sur terre et tout ce qu’on a besoin de connaître.

John Keats est un poète délicat et romantique qui aimait la nature et les fleurs . A chaque fois que revient l’automne je pense à sa poésie intitulée : Ode to autumn.Season of mists and mellow fruitfulness!
Close bosom-friend of the maturing sun;
Conspiring with him how to load and bless
With fruit the vines that round the thatch-eaves run;
To bend with apples the mossed cottage-trees,
And fill all fruit with ripeness to the core;
To swell the gourd, and plump the hazel shells
With a sweet kernel; to set budding more,
And still more, later flowers for the bees,
Until they think warm days will never cease,
For Summer has o’erbrimmed their clammy cells.

Who hath not seen thee oft amid thy store?
Sometimes whoever seeks abroad may find
Thee sitting careless on a granary floor,
Thy hair soft-lifted by the winnowing wind;
Or on a half-reaped furrow sound asleep,
Drowsed with the fume of poppies, while thy hook
Spares the next swath and all its twined flowers;
And sometimes like a gleaner thou dost keep
Steady thy laden head across a brook;
Or by a cider-press, with patient look,
Thou watchest the last oozings, hours by hours.

Where are the songs of Spring? Ay, where are they?
Think not of them, thou hast thy music too, –
While barred clouds bloom the soft-dying day
And touch the stubble-plains with rosy hue;
Then in a wailful choir the small gnats mourn
Among the river sallows, borne aloft
Or sinking as the light wind lives or dies;
And full-grown lambs loud bleat from hilly bourn;
Hedge-crickets sing, and now with treble soft
The redbreast whistles from a garden-croft;
And gathering swallows twitter in the skies.

John Keats

http://www.youtube.com/watch?v=dRaZLelITDQ

Ci dessus une belle interprétation de ce poème.