Mouvements ronds et Fluides, maîtrise du geste qui vise l’harmonie avec le tout et toutes les forces de la nature.
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L’autre soir au cercle poétique pleins feux sur le Chat noir, célèbre cabaret montmartrois créé en 1881 par Rodolphe Salis.
Carnet de voyage poétique.
J’ai découvert plein de poésies chantées pour la plupart que je ne connaissais pas. Ce n’est pas trop dans mon style poétique mais j’avoue que cette fameuse complainte d’Alphonse Allais, cocasse à souhait, m’a bien fait sourire. Nous avons là peut être l’histoire de son premier amour. A chacun son coeur à chacun son amour.
Chanté avec la voix si particulière de Juliette Greco c’est extra.
Oui dès l’instant que je vous vis
Beauté féroce, vous me plûtes
De l’amour qu’en vos yeux je pris
Sur-lechamp vous vous aperçutes
Ah ! Fallait-il que je vous visse
Fallait-il que vous me plussiez
Qu’ingénument je vous le disse
Qu’avec orgueil vous vous tussiez
Fallait-il que je vous aimasse
Que vous me désespérassiez
et qu’enfin je m’opiniâtrasse
Et que je vous m’idolâtrasse
Pour que vous m’assassinassiez
Le brillant sociologue italien Franscesco Alberoni a passé des années de sa vie a étudier la couleur de cet amour là . Il en a écrit plusieurs livres :
-Le choc amoureux
-Je t’aime
-Le premier amour
On n’oublie jamais son premier amour, c’est vrai et je dirai aussi qu’il ya autant de manière de vivre le premier amour que de coeur qui bat, chacun a sa propre manière de le percevoir selon sa sensibilité.
le premier amour pour moi a été un ravissement , un émerveillement, le coeur qui bat à la chamade à la vue de son aimé, un sentiment nouveau et inconnu et mystérieux qui vous poursuit et vous cherche partout quand il n’est pas là. C’est une expérience unique et un moment unique placé un peu plus tôt ou un peu plus tard sur le chemin de la vie. Elle se situe au centre dans le coeur sacré. C’est pour cela qu’il reste en nous et que bien souvent on le cherche dans les nouvelles rencontres sans jamais pouvoir le retrouver vraiment.
Mon premier amour je l’associerais à la rose rose ou plutôt à l’églantine, la rose initiale, la rose es-sens -tielle.
Je l’associerais à cette fleur merveilleuse et délicatement parfumées. j’aime ses pétales blancs rosés en forme de coeur qui se disposent d’une manière circulaire autour d’un centre lumineux jaune solaire. Sur ses feuilles vernissées, il y a encore le souvenir de cette couleur bleue si précieuse à mes yeux.
Une petite pause sur ce bleu, j’y reviendrai car l’artisanat de ce pays est vraiment à découvrir.
Les couleurs ont peut les aborder sous différents angles à vous de choisir le livre qui vous parle. Voici quelques références en matière de couleurs :
De l’historien des couleurs Michel Pastoureau:
-Les couleurs de notre temps.
-Les couleurs de nos souvenirs.
-Dictionnaire des couleurs de notre temps.
Editions Bonneton
Je crois bien qu’il a aussi écrit sur la couleur bleue et son histoire.
Si on aborde la couleur du point de vue thérapeutique vous pouvez lire :
-Se soigner et guérir par les couleurs de Jean-Michel Weiss et de Maurice Chavelli
Editions Age du verseau
Ou bien encore : les grands secrets de l’énergie qui guérit de Jacques Staehle.
Editions Reuille
En ce qui concerne les mandalas j’ai sous la main :
Mandalas :
-Comment retrouver le divin en soi ?
-Manuel de thérapie par le mandala
De Rudiger Dahlke.
Ce thème des couleurs est également très présent chez les artistes : peintres, poètes, écrivains, cinéastes, chorégraphes,photographes, musiciens… Chacun l’aborde avec sa propre sensibilité .
Et merci à tous ce qui viendront compléter cette liste en suggérant d’autres pistes à suivre.
Pour moi, la couleur c’est une vibration, une lumière, une émotion heureuse.
Non le noir n’est pas une couleur pour moi, c’est une couverture d’ombre.
Ce bleu là ce n’est pas le bleu du ciel que j’aime pourtant, ce n’est pas le bleu de la mer que j’aime aussi, ce n’est pas le bleu de la lune ou le bleu de la nuit, ce n’est pas celui de l’herbe bleue des pastels de Toulouse, ce n’est pas le bleu-gris des balcons lyonnais, ce n’est pas le bleu lavande, ce bleu là, j’ai failli mourir d’amour pour lui mais, ne faites pas comme moi n’en mangez pas . Vous pouvez le savourer longuement avec le regard.
C’est un bleu lumineux, léger, infini, transparent un bleu libre et frais, ce n’est pas un bleu turquoise bien qu’il s’en approche. Il faudrait lui mettre une pointe de blanc un peu plus de bleu ciel un peu moins de vert et une toute petite pointe de gris et voilà le tour est joué.
Ce bleu là c’est le bleu du sulfate de cuivre. Je m’y suis intéressée très tôt. Mon père avait des vignes. Un jour, il est allé les sulfater en ne rangeant pas son matériel. j’ai découvert la bouillie bordelaise avec ce bleu si beau que je n’ai pas pu m’empêcher de le goûter. La suite vous la devinez. Le sulfate de cuivre est toxique. J’ai survécu à cet empoisonnement. Cela ne m’empêche pas de rester fidèle à cette couleur mais, je me contente de m’en imprégner de loin.
Ce bleu là, je l’ai retrouvé identique En Tunisie et ce fût un émerveillement. Bien sur parfois le ton était un peu clair ou un peu plus foncé mais la base de la couleur c’est la même.