Archive for the ‘carnet de voyage’ Category

Et aussi… un peu mieux mais bon …Les photos d’avant hier à Hyères étaient plus belles.

dimanche, octobre 31st, 2010

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Suite…

dimanche, octobre 31st, 2010

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Quelques photos en vrac du port de Toulon, pas trop réussies, trop de vent, trop peu de lumière, une drôle d’atmosphère…

dimanche, octobre 31st, 2010

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Vent violent dans le ciel les nuages s’entrechoquent.

dimanche, octobre 31st, 2010

toulon-fin-octobre-075.JPGLa tempête arrive, j’écourte mon voyage, je rentre, si Turner se faisait attacher au mat d’un navire pour la ressentir, moi je la sens arriver jusque dans les os avant même qu’elle soit là …

Du port de Toulon à la rame à la rame, j’irai jusqu’au bout du monde

dimanche, octobre 31st, 2010

toulon-fin-octobre-073.JPGBelle sculpture (au moins trois mètres de haut) pointant la mer érigée  en hommage à tous les marins, elle a une rame et une ancre à la main.

sculpteur( J. Daumas 1847)

Quelqu’un m’a dit qu’on la surnommait « Cuverville » Ah !!! Serait ce parce que « ses mandalas-fesses »sont bellicismes et tournées vers la ville !!! Oui, bien sur, mais aussi parceque c’est le nom d’un célèbre navigateur.

Toujours sur le thème du voyage, voyage dans la vie. The logical song

dimanche, octobre 24th, 2010

http://www.youtube.com/watch?v=fBoYZqmcZuc

The logical song, une très belle chanson reprise agréablement par le groupe « Pink turtle ».

Je trouve également que la vidéo qui l’accompagne est particulièrement bien réussie.

Peut être vous reconnaîtrez vous dans ce texte ou dans l’une où l’autre de ces jeunes filles  si vous êtes une femme? Mais c’est un homme qui chante !!! alors peut être vous reconnaitrez vous aussi ?

Celle à qui je ressemblais le plus, c’est celle qui porte un jean l’autre jeune fille ressemble étrangement à ma meilleure amie de l’époque, Gisèle. Elle mettait volontiers des jupes courtes, elle portait aussi des lunettes rondes avec la même coiffure sauf, que c’était une vraie rousse. Au lycée, nous étions très complices…

 Un jour, c’est moi qui suis partie, j’ai pris pris le bus pour une autre vie, si vous la rencontrez, donnez lui le bonjour de ma part … Je ne l’ai jamais revue.

A  la même époque, je ressentais  pour la première fois, les délicieux tourments de l’amour . C’était un beau ténébreux aux yeux de tourmaline noire.

Il avait une mèche rebelle de cheveux  qu’il rejetait sur le côté. Son rire joyeux résonne encore dans ma tête.

C’était un fil invisible qui nous reliait, il n’était pas de mon monde mais, personne, non personne ne peut mettre sous cloche le souvenir que j’en ai gardé , il est  nostalgique mais heureux quand même, il fait partie de ma vie.

 Le temps a passé emportant la jeunesse, mais les souvenirs sont restés .Cette chanson va aussi pour lui. La nostalgie c’est un bonheur triste…

Voici le début de  la chanson :

When i was young, it seemed that life was so wonderful,

a miracle, oh it was beautiful, magical.

And, all the birds on the trees, well they’d be singing so happilly,

joyfully, playfully watching me.

But then they send me away to teach me how to be sensible, logical, responsible, pratical.

And they showed me a world where i could be so dependable,

clinical, intellectual, cynical.

There are times when all the world’s asleep

The question run too deep

for such a simple man.

Won’t you please, please tell me what we’ve learned

I know it sounds absurd

but please tell me who i am.

Mozart for ever. Un merveilleux musicien qui traverse le temps.

dimanche, octobre 24th, 2010

http://www.youtube.com/watch?v=df-eLzao63I

Le merveilleux voyage de l’andante n°21 de Mozart, à écouter ce dimanche pluvieux pour s’élever au dessus des nuages et voir le bleu du ciel.

Un passage musical idéal pour se relaxer.

L’ombre des anges : Isaac lerutan 2009

vendredi, octobre 22nd, 2010

langelot-de-ludmila-011.JPGSur le thème du voyage le poème que j’ai choisi de dire.

J’ai compris que pour bien dire un poème c’est comme pour le chant, il faut trouver sa note juste. Chacun a la sienne.

Je traverserai les villes

j’emporterai ta voix

J’irai chercher le feu dans le ciel

Et le vent dans les voiles

Quand l’ombre des nuages

Démasquera nos souffles

Nous volerons sereins

par les chemins du sort

Et nos songes en fuite

Éviteront les gouffres

Pour balayer ensuite

Les traces de nos morts

Je traverserai les villes

J’emporterai ta voix

J’irai chercher le feu dans le ciel

Et le vent dans nos voiles

Une étoile se repose

Dès qu’un ange s’endort….

L’autre soir, au cercle poétique : « Marseille »,débarcadères,1927, Jules Supervielle

vendredi, octobre 22nd, 2010

marseille-ce-dimanche-de-fevrier-016.JPGOn ne peut pas parler de la Provence sans parler de Marseille.

L’autre soir, au cercle poétique, le thème de la soirée c’était le voyage.

Dans une ambiance feutrée, conviviale et très agréable, j’ai découvert et redécouvert de magnifiques poèmes sur ce thème.

Voici Marseille vue par le poète Jules Supervielle.

Marseille sortie de la mer, avec ses poissons de roche, ses coquillages et l’iode,

Et ses mats en pleine ville qui disputent les passants,

Ses tramways avec leurs pattes de crustacés luisants d’eau marine,

Le beau rendez-vous de vivants qui lèvent le bras comme pour se partager le ciel,

Et les cafés enfantent sur le trottoir hommes et femmes de maintenant avec leurs yeux de phosphore,

Leurs verres, leurs tasses, leurs seaux à glace et leurs alcools,

Et cela fait un bruit de chaises frétillantes.

Ici le soleil pense tout haut, c’est une grande lumière qui se mêle à la conversation…

Et la lune est un singe échappé au baluchon d’un marin

Qui vous regarde à travers les barreaux légers de la nuit.

Marseille, écoute-moi, je t’en prie, sois attentive,

je voudrais te prendre dans un coin, te parler avec douceur,

Reste donc un peu tranquille que nous nous regardions un peu

Ô toi toujours en partance

Et qui ne peut t’en aller,

A cause de toutes ces ancres qui te mordillent sous la mer.

Conclusion : La Provence, haut lieu de la biodiversité

mardi, octobre 19th, 2010

Avec plus de la moitié des espèces connues en France présentes sur son territoire, la Provence est une terre d’exception pour la conservation de la biodiversité. C’est dans ce but qu’oeuvre un réseau de 28 espaces naturels protégés où l’avenir des dauphins, tortues, mérous, flamants, lynx et bouquetins est assuré.

Photo : Une calanque entre la Ciotat et Marseille.

Le parc national  de protection des calanques, un projet en cours qui, je l’espère aboutira.

figuerolle-027.JPG